1. S'il n'entend le cœur qui bat


    Datte: 03/03/2022, Catégories: fh, couple, extracon, hotel, vengeance, jalousie, reconcil, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, extraconj, Auteur: Volnay, Source: Revebebe

    Cadre technique à la mairie de ma ville, quarante-cinq ans, taille moyenne, poids fixé au raisonnable par la pratique du sport (marche, vélo et la boxe depuis que je suis ado), rien de remarquable donc, un mec comme tant d’autres. Je suis marié depuis vingt-trois ans avec Lucie, professeur dans un collège de la même ville. Nous avons le même âge. Elle est un peu plus petite que moi, a des yeux et des cheveux noirs et une silhouette qui est restée agréable. Nous avons deux enfants. Ils ont quitté la maison pour faire des études dans la métropole régionale. En résumé, une famille moyenne de Français moyens et dont rien n’avait bouleversé le train-train jusqu’à il y a une série d’évènements qui va suivre et dont on ne saurait mieux résumer le premier qu’avec ce vers du regretté Jean de La Fontaine :
    
    Pour ce qui est de la faim et ça non plus, ça n’est pas original : question sexe, notre couple n’était plus ce qu’il avait été. Lucie et moi on avait beaucoup, mais vraiment beaucoup aimé baiser ensemble. Je dis bien baiser, parce que faire l’amour a un petit côté convenable très insuffisant pour évoquer les parties de jambes en l’air auxquelles nous nous étions longtemps livrés. Nous avions essayé presque tout ce qui peut se pratiquer entre deux êtres humains de sexes différents en usant au besoin des divers produits de la technologie moderne. Faute de pouvoir l’enculer (une expérience malheureuse avec un de ses premiers partenaires l’avait rendue allergique à cette pratique), ...
    ... ceux-ci me permettaient entre autres de jouer avec son si joli cul en usant de godes de taille réduite.
    
    Chez nous, dans des trains-couchettes, sur le capot de nos voitures, dans la piscine de mes beaux-parents, en forêt, dans l’eau de l’océan Atlantique ou celle de la Méditerranée (deux de nos endroits préférés) nous nous étions donné tout le plaisir que peuvent s’offrir l’un à l’autre une femme et un homme. J’aimais tout d’elle, ses seins lourds dont les tétons s’érigeaient quand elle touchait au plaisir, sa chatte, la toison qui l’abritait et ses délicieuses petites fesses. Quant à moi, sans atteindre aux dimensions extravagantes dont se vantent certains auteurs de textes dits érotiques, je suis honnêtement pourvu par la nature qui, bonne mère, m’a également doté d’une belle facilité pour ce qu’on appelle recharger ses batteries. J’ajoute que notre goût commun pour fantasmer à propos des situations les plus scabreuses nous était d’un grand secours pour compenser les rares moments où ma libido ou la sienne se trouvaient passagèrement en berne. Enfin nous avions le plus efficace des aphrodisiaques : l’amour profond qui nous liait. Comme Georges Brassens l’a si bien dit,« S’il n’entend le cœur qui bat, le corps non plus ne bronche pas… » (comme toute règle, celle-ci a ses exceptions, la littérature en est pleine).
    
    Mais voilà, il y a trois ans, elle et moi nous avons dû affronter des difficultés professionnelles aggravées pour Lucie par un problème de santé. Elle a fait une ...
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