L'assistant (1)
Datte: 03/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: ruth4442, Source: Xstory
... aller, je préviendrai que tu es un assistant déloyal, et je ferai en sorte que tu ne sois pas pris. Rémi, tu es à présent à moi. Tu finiras par l’accepter, car au fond de toi, tu l’as toujours voulu.
Je ne comprends pas où elle veut en venir. Tout cela me semble absurde. Mon esprit cherche en vain à rationaliser les choses. Elle se lève de son fauteuil.
Elle fait à nouveau le tour de son bureau, quasiment jusqu’à me rejoindre, et finalement s’assied sur le rebord du bureau, face à moi, à quelques décimètres de moi tout au plus. Malgré la terreur qui règne en moi, je ne peux m’empêcher de porter mon regard de bas en haut sur ses jambes élancées, sur sa tunique très courte, puis sur son décolleté qui ne cache que le strict nécessaire, fort heureusement aidée par de nombreux colliers et pendentifs...
— Lève-toi, me dit-elle.
Je m’exécute, et m’approche dangereusement d’elle, la frôlant sans la toucher.
Je reste immobile et attends de savoir ce qu’elle va exiger de moi. Au lieu d’instructions, elle me fixe du même regard que celui avec lequel elle m’a accueillie quelques minutes plus tôt. Elle ne me lâche pas du regard, et je sens qu’avec une habileté et une rapidité déconcertantes, elle défait ma ceinture, ouvre le bouton de mon chino, et passe la main dans mon boxer.
Mon cerveau ne fait qu’un tour ; mon sang se glace. Mais surtout, mon sexe s’érige en une vraie lance entre ses doigts.
J’en profite pour poser mes mains sur ses fesses et les caresser ...
... doucement, puis les palper avec plus de fermeté, lui baisser ses collants aux chevilles, glisser ma main entre ses cuisses et remonter jusqu’à son sexe glabre pour y introduire un doigt, délicatement, mais profondément et fermement.
Ce qui se passe est irréel, mais je n’ai pas le temps pour comprendre, analyser, réaliser cette folie qui nous gagne. Elle est trempée. C’est à ce moment-là qu’elle pousse un petit soupir et m’empoigne plus fort encore les testicules, me défiant du regard, comme pour me prouver qu’en tout état de cause, c’est elle qui garde le contrôle sur moi et non l’inverse. S’ensuivent des va-et-vient délicieux, au rythme du jazz qui continue à jouer dans le bureau.
Elle s’agenouille finalement pour mettre sa tête au niveau de mon mât, continuant à me branler et faisant finalement mine de l’avaler, jusqu’à suffoquer d’avoir trop rempli sa bouche. Elle lève les yeux tout en continuant ce traitement, et les plante dans mon regard. Elle est belle, que dis-je, magnifique, et n’en finit pas de m’époustoufler et m’exciter.
Soudain, elle se relève et m’ordonne : "Mets-toi à genoux, la bouche ouverte, et regarde ce que je vais faire". J’obéis sans protester.
Elle se rassoit sur le rebord du bureau, écarte les jambes et pose un pied sur la chaise, l’autre étant posé au sol. J’ai une vue dégagée sur sa chatte, dont les effluves gagnent mes narines et titillent mes hormones. Je voudrais me toucher, mais elle me l’interdit. Gauchère, elle descend sa main droite sur ...