Vacances 2018 (2)
Datte: 12/08/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: dominic47, Source: Xstory
... tournant, forçant, quand soudain le poignet, à sa grande surprise, est aspiré par le vagin; Ophélie hurle.
C’est une sensation indéfinissable que ressent Christine d’avoir la main dans cet antre palpitante, chaude et humide. Elle prend un plaisir phénoménal à posséder Ophélie de cette manière, comme elle n’aurait jamais cru possible de posséder quelqu’un. Elle est à deux doigts de jouir.
Après une petite pause où Ophélie récupère doucement, de sa main libre, Christine lui caresse le ventre, la rassure. Elle recommence doucement à bouger dans le vagin, mais celui-ci étant trop serré, elle n’arrive pas à progresser. Pour le dilater, elle ouvre au maximum sa main puis la referme et l’enfonce. Au bout de dix minutes de ce traitement répété avec patience, sous les cris et les râles, le bras est à moitié enfoui dans sa chatte. Elle attend que la respiration se calme puis le retire doucement pour ne laisser que le poignet à l’intérieur, le souffle d’Ophélie s’accélère. Pour l’instant, l’envahissement du vagin est plutôt douloureux, aussi pour lui permettre d’accéder à la dernière phase, la jouissance d’être totalement remplie, découvrir le climax, Christine remet de l’huile sur son bras. Ainsi lubrifié, il coulisse mieux en écartant la vulve. Bouche grande ouverte, corps trempé de sueur, la douleur se mêle encore au plaisir. Christine lime doucement, Ophélie feule.
— Tu aimes ?
Christine lime doucement.
— Oui...Doucement.
Jamais au grand jamais Ophélie ne ...
... s’était autant sentie remplie, elle ne maîtrise plus son corps. Son bassin fait des mouvements de plus en plus amples pour accentuer la pénétration, elle sent l’excitation monter, et monter encore.
— Tu veux jouir ma chérie ?
Elle continue toujours lentement
— Oui.
C’est à ce moment que Christine décide d’utiliser des mots vulgaires plus lubriques les uns que les autres. Elle sait que ces mots stimulent l’imagination et boostent la libido de sa chérie.
— Tu veux jouir ma belle garce ?
Christine accélère son mouvement.
— Oui...Encore ! Plus fort, plus loin ! soupira-t-elle.
— Ce sont les chiennes qui aiment les gros membres !
— Ah.
— Dis-moi que tu es une chienne.
Christine accélère son mouvement.
Ophélie, yeux révulsés, crie à tue-tête.
— .......
— Dis-moi que tu es une chienne. Allez, lâche-toi !
Christine stoppe son mouvement
— Je suis une chienne...Continue !
— Dis-moi que tu es ma chienne.
Christine branle vivement
— Ah.......
— Allez...... Dis-le ...... Je suis ta chienne.
Christine accélère
— Ah ! Je suis ta chienne.
— Je t’aime ma chérie adorée.
Christine accélère les aller-retour. Ophélie sent ses parois s’ouvrir toutes grandes, elle gémit, pousse des hurlements, la douleur et le plaisir se confondent. Quand les cris et les râles deviennent ininterrompus, Christine la pistonne allégrement tout en lui pinçant le clito. La réaction est immédiate. Ophélie se tétanise, son cœur s’accélère, son souffle ...