1. Vacances 2018 (2)


    Datte: 12/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: dominic47, Source: Xstory

    Vacances 2018
    
    Mercredi 7
    
    Entre les rideaux, un rayon de soleil s’incruste et vient caresser le visage de Christine. Elle pourrait rester au lit, savourer la présence de sa chérie, cependant il est tard, elles doivent faire des courses ce matin, et si elles veulent avoir du choix sur le marché, il ne faut pas tarder. Elle réveille Ophélie, se précipite pour se laver, puis laisse la place à sa belle-sœur. Pendant qu’elle se douche, elle lui prépare sur son lit les affaires qu’elle mettra pour sortir. Une jupette, un chemisier blanc, un string et le collier.
    
    — Voici pour t’habiller...Avant, viens tout près de moi, je vais te mettre ce petit jouet. Tu reconnais, c’est un œuf...Il va se placer tout seul...Ecarte tes lèvres...Tu vois, il rentre tout seul, tu vas l’aimer.
    
    Allez, dépêche-toi de t’habiller. On part faire les courses.
    
    Les deux filles marchent main dans la main sur le chemin qui les mène au marché. Christine n’a pas déclenché l’œuf afin qu’Ophélie se familiarise à sa présence. Celle-ci l’a d’ailleurs oublié, car pour l’instant, ce n’est pas ce joujou qui occupe ses pensées, mais l’accessoire qui se trouve sur son cou, l’humiliant au-delà de l’imaginable.
    
    Dès l’arrivée sur le marché, Christine actionne la télécommande de l’œuf. Les vibrations surprennent Ophélie et lui rappellent qu’au fond de son ventre, un intrus est bien présent. Par réflexe, elle serre la main de Christine tout en essayant de maîtriser sa respiration. Au premier arrêt, devant ...
    ... l’étal de fruits et légumes, sa belle-fille met en pause l’œuf. En attendant leur tour pour être servie, elle observe Ophélie, effleure ses seins négligemment, puis se penche à son oreille pour lui parler discrètement.
    
    — Je ne sais pas si tu l’aimes ton jouet ! Mais tes seins sont tous durs. Tout le monde les voit.
    
    Ophélie pique un fard.
    
    Elle baisse la tête de honte tandis que son string s’humidifie de plus en plus. Son émoi est visible, surtout de Christine qui l’accentue avec des mots salaces.
    
    — On a même l’impression que les tétines vont transpercer le chemisier. Lève la tête et regarde tous tes admirateurs.
    
    Ophélie est concentrée sur sa chatte trempée, les mots grossiers ne font qu’accroître son trouble, sa lubricité. Par contre, l’ordre que lui a donné sa belle-sœur est resté lettre morte, et celle-ci lui fait remarquer de suite :
    
    — On finit les courses et l’on s’occupe de ton problème d’obéissance.
    
    Leurs tomates achetées, elles se dirigent vers l’étal du fromager et c’est devant celui-ci que Christine se retourne face à Ophélie :
    
    — Prends du fromage et retrouve-moi à la terrasse là-bas. J’ai soif, je vais commander...
    
    Sur ces paroles, elle s’éloigne d’Ophélie, plonge la main dans son sac, puis tout en l’observant remet l’œuf en marche. Sa belle-sœur, en discussion avec le commerçant, a soudain du mal à s’exprimer. Le fromager s’impatiente. Il la presse pour connaître sa commande, beaucoup de clients attendent d’être servis. Elle se reprend malgré ...
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