1. Vacances 2018 (2)


    Datte: 12/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: dominic47, Source: Xstory

    ... et revenue, elle prépare le petit-déjeuner. Heureuse, elle se dirige enfin vers la chambre. Assise sur le lit, elle regarde Ophélie dormir, couchée sur le côté droit, une main sous l’oreiller, l’autre à plat sur le drap; détendue, le souffle régulier, le visage serein, elle est belle. Et puis Christine se penche, pose délicatement la main sur le front, ses doigts dans les cheveux, sa bouche sur les lèvres, Ophélie s’éveille, Christine fond, elle devient amoureuse.
    
    La douche est un moment de douceur. Au début, Christine s’occupe d’Ophélie, ses cheveux mouillés, les enduisant de shampoing, puis massant son cuir chevelu. Ensuite, avec le gel douche, elle parcourt consciencieusement toutes les parties du corps : visage, épaule, dos, poitrine qu’elle chouchoute, ventre et nombril qu’elle caresse. Elle n’a pas assez de mains pour parcourir le corps de sa chérie. Elle se penche ensuite pour laver les pieds, les mollets; elle remonte sur les cuisses, caresse plutôt qu’elle ne nettoie, insère ses doigts dans la raie culière sans oublier l’œillet fripé, et cajole les petites et grandes lèvres.
    
    Pour Ophélie, ce traitement particulier la trouble fortement. C’est donc avec le souffle court qu’elle s’occupe à son tour du corps de sa belle-sœur; puis aimantée par les seins, elle ancre sa bouche sur sa poitrine; avec sa langue, elle suce, titille le mamelon.
    
    Une douce chaleur envahit le ventre de Christine. La respiration hachée, elle ferme les yeux, s’abandonne à cette caresse, ...
    ... profite du plaisir qui monte, puis gémit doucement lorsque le bout durcit, halète quand les dents titillent le téton, coule et geint alors que la tétine est mordue, jouit avec le doigt, vicieusement calé sur le berlingot. Elle se retient à sa belle-sœur pour ne pas tomber, l’orgasme est foudroyant.
    
    Séchées et enveloppées d’un kimono de nuit japonais, elles arrivent enfin dans la cuisine où les attendent les croissants.
    
    — Tu prends du lait avec ton thé ? demande Christine.
    
    — Oui s’il te plaît. Tu veux un jus d’orange ? répond Ophélie, le nez dans le frigo.
    
    — Oui merci. C’était magnifique, ma chérie ! lance-t-elle à sa compagne.
    
    Ophélie rougit. Emportée par sa fièvre; le désir l’a emportée; elle se demande encore comment elle a pu prendre cette initiative, faire l’amour à une femme était encore, il y a trois jours, inconcevable pour elle.
    
    Tout à leur petit-déjeuner, les filles se regardent silencieusement, elles apprécient la plénitude après la tourmente.
    
    Elles évoquent néanmoins au bout d’un certain temps le programme du jour. Elles se décident pour la visite d’un musée ce matin et pour l’après-midi, elles iront à la mer.
    
    *****
    
    Christine, avec sa silhouette élancée, son mélange d’innocence puérile, sa sensualité sauvage, son allure sereine, provoque rarement de l’indifférence sur son passage. Cependant, ils sont peu à oser l’approcher, s’imaginant certainement qu’une aussi belle jeune femme est inaccessible, et pour les autres, ceux qui franchissent le ...
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