Mise en bouche médiévale
Datte: 28/02/2022,
Catégories:
fffh,
grosseins,
entreseins,
Oral
nopéné,
jeu,
conte,
Auteur: Gem, Source: Revebebe
... sexuelle.
Quand je sentirais tous vos désirs d’homme transmis par votre queue au bord de la rupture, j’approcherais mon visage de votre bas-ventre. Mes cheveux vous transmettraient en même temps des papillons sous votre nombril par leurs caresses soyeuses.
C’est ma langue qui, en premier, goûterait votre hampe veinée par de lents allers-retours. Mes mains mesureraient votre excitation par vos testicules caressés. Et selon vos gestes pouvant, peut-être, écarter vos cuisses, selon vos gémissements, mes doigts pourraient descendre bien encore plus bas, guidés par vos envies.
À ma langue succéderaient mes lèvres, puis ma bouche. Mon Seigneur, je suis très goulue, je ne pourrais résister à votre offrande pleine de toute votre virilité, et mon avidité de recevoir en ma bouche cette colonne de chair que vous m’offrirez ne fera qu’amplifier ma gourmandise.
Sachez, Mon Seigneur, que je peux avaler très profondément.
En vous sentant venir, c’est vers votre gland que mes lèvres et ma langue glisseraient. J’aime en effet sentir la semence chaude éclabousser mon palais et couler jusqu’à ma gorge.
Ma bouche se ferait une nouvelle fois gourmande en descendant profondément sur votre queue. Vous verrez, ce moment serait inoubliable, Mon Seigneur. Je laisserais ensuite échapper toute votre jouissance blanchâtre le long de votre chibre. Votre ventre se contracterait de plaisir. Votre liqueur inonderait vos poils pubiens.
Je quitterais à regret votre virilité de chair pour ...
... pouvoir passer ma langue partout où vos traînées blanches auraient laissé des empreintes sur vous.
Mon Seigneur, j’avalerais ensuite au plus profond de moi-même votre semence. Le plus intime de vous.
Parchemin II
La deuxième paysanne du village avait ces mots pour le souverain :
Mon Seigneur, votre homme de confiance est venu recueillir mes mots sur un sujet, il est vrai, qui m’a mise en ébullition. À la question : N’ayant droit à aucune pénétration, comment donnerais-je du plaisir à mon souverain jusqu’à la jouissance ? Voilà ce que je vous réponds :
Mon Seigneur, depuis mon plus jeune âge, je suis dotée d’une poitrine généreuse. Je sais que les hommes aiment ça, leurs yeux ne peuvent décoller de mon décolleté. Dès ma maturité, j’en jouais en omettant même de mettre le dernier bouton. Mes seins compressés dans mes vêtements de paysanne ont toujours l’air de vouloir s’en échapper. À chaque respiration, ils se gonflent exagérément. Et je vois bien qu’au champ, quand nos hommes, jeunes ou vieux, y sont, l’effet est immédiat.
Si je suis élue en ce jour de Vénus, au soir, une fois nue, c’est à cet endroit de ma personne que je mettrais votre chibre. Vous avez bien de l’huile parfumée dans vos salons pour vos Dames. Je m’en badigeonnerais la poitrine, et plus précisément entre mes deux gros globes. Vous verrez, mon Seigneur, vous y serez bien, à glisser et coulisser votre sexe. Oh, vous n’aurez rien à faire… qu’à vous laisser faire.
C’est moi, par mes mains et ...