Mise en bouche médiévale
Datte: 28/02/2022,
Catégories:
fffh,
grosseins,
entreseins,
Oral
nopéné,
jeu,
conte,
Auteur: Gem, Source: Revebebe
Il était une fois… quelque part dans le Comté du Languedoc, un petit village entouré de ces terres agricoles et dominé d’un château. Son souverain, un chef de guerre habitué à être sur le terrain et très absent ordinairement, était en convalescence dans sa forteresse.
Sa vilaine blessure – résultat d’une flèche ennemie à l’épaule – n’était pourtant plus qu’un mauvais souvenir. Or, ce souverain avait une particularité sexuelle : il pouvait avoir trois érections consécutives et était très demandeur.
Il eut alors l’idée, pour soulager sa préférée et ses amantes, d’organiser un tournoi de mises en bouche(terme du Moyen Âge désignant un concours de fellations), et décida que ce dernier se déroulerait une fois par semaine. Il pensait ainsi, soulager tout le monde, à commencer par lui-même(ben voyons !). Il comptait donc surtout soulager ses propres Dames ainsi que les villageoises qui devaient être en manque, leurs maris étant partis aider les chevaliers à quelques batailles pour plusieurs mois. Pour avoir bonne conscience(re ben voyons !), auprès des siens et de ses guerriers, il avait établi une seule règle : pas de fornication.
Il chargea son homme de confiance d’aller recueillir sur parchemin les arguments des villageoises qui répondraient à cette annonce :
Le jour de Vénus, une charrette vint chercher les trois heureuses élues, sous l’œil jaloux des autres villageoises.
Monseigneur demanda à sa préférée et à ses servantes de s’occuper d’elles dès leur ...
... arrivée, à savoir, commencer par un bon bain.
Complètement dévêtues, elles rejoignirent ensuite la chambre du souverain qui les attendait, assis sur le rebord du lit, lui aussi entièrement nu et déjà en forme.
Sa préférée devait participer en tant que spectatrice à droite de la couche, ainsi que son homme de confiance, à gauche, pour lire les parchemins. Après chaque lecture, la villageoise qui avait proposé sa manière de donner plaisir au Seigneur devait s’exécuter avant que l’autre prenne sa place.
Son bras droit avait rédigé les textes des parchemins, en ce qu’il croyait être un bon français. Cet homme passionné croyait en l’avenir de nouveaux mots, comme s’il lisait ça dans une boule de cristal. C’était inné chez lui, et il y croyait… Il éduquait d’ailleurs « Son seigneur » à cette nouvelle langue, si l’on pouvait se permettre de dire ça en cette circonstance. Il avait donc remplacé au maximum les mots qui sortaient des belles bouches pulpeuses des villageoises, comme grelots, bourses, pieu, gourdin, foutre, etc.
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Parchemin I
Mon Bon Seigneur.
Si j’avais la chance d’être une des élues d’un soir, voilà, ce que j’aurais envie de vous faire.
Je masserais de mes doigts fins et délicats de femme, dans un premier temps, votre chibre. Je lui donnerais toute sa virilité et sa dureté attendues.
Ensuite, mes mains se feraient même panier pour accueillir vos bourses, que masserais avec beaucoup de délicatesse afin de faire monter toute votre chaleur ...