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Une mère pas comme les autres... (33)
Datte: 25/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: AlexisPC, Source: Xstory
... langue. Aurore jouissait de manière théâtrale mais terriblement excitante pour un homme. J’en étais ravi. Ses jambes et tout son corps tremblaient sous les effets de l’orgasme qu’elle venait de vivre — AAAARRRRGGGGHHHHHH….OOUUIIIIIIII ! Ses mots résonnèrent dans la pièce et les trois femmes, qui pourtant ne pouvaient en entendre la moindre syllabes, comprirent immédiatement que je venais de lui offrir son premier orgasme de la soirée. Chacune tirait sur ses entraves avec, dans le regard, l’envie certaine de m’étrangler. Anaïs était anéantie par la soudaineté et la force l’orgasme ressenti sous sa position contrainte. Ses yeux allaient de la chatte d’Aurore à ma main toujours collée à ce sexe devenu liquide. Je ressentais parfaitement ce que ma fiancée devait vivre en cet instant. Un moment d’excitation intense mais qui était largement dépassé par une jalousie qu’elle ne pouvait nier. Car je venais de lui faire vivre ce qu’elle m’avait fait vivre. Je venais de faire jouir une femme sans lui en avoir parlé au préalable et sans avoir reçu son accord. Ce qui allait à l’encontre de nos règles. Règles qu’elle n’avait pas hésité à bafouer tandis qu’elle me laissait dans l’ignorance parfaite de ses agissements extra-conjugaux. Je n’agissais pas de la sorte. C’était pire. Car je venais de réaliser de geste en pleine possession de mes moyens et juste sous ses yeux qu’elle n’avait pu détourner un seul instant de ce spectacle bestial. Je me ...
... relevais et toisais ma fiancée. Mon regard était emprunt de fierté, d’excitation mais surtout d’un sentiment de plénitude qui ne put échapper à Anaïs. Sans lui laisser le temps de réagir, je m’adressais aux deux hommes qui étaient retournés besogner avec force la chatte et les seins de Sylvie. Je voyais et j’entendais que son orgasme était proche. Ses yeux étaient fermés et elle respirait à grandes bouffées afin de tenter de maintenir le contrôle sur son sexe et sur la montée inexorable de son plaisir. — Messieurs ? Il me semble que deux autres femmes méritent également vos talents. Mais celui qui s’occupera de la jeune femme que voici sera-t-il assez courtois pour suivre explicitement mes instructions ? Les deux hommes s’arrêtèrent instantanément, laissant à nouveau Maman sur sa faim. Elle nous le fit comprendre à grand renfort de jurons et d’obscénités qui m’étonnèrent dans sa bouche, peu habituée à un tel langage. J’éclatais de rire en la regardant se trémousser dans tous les sens tandis qu’elle suppliait ou insultait, selon le moment, l’un de ses tortionnaires à « finir le travail, bordel de merdre ! ». Le plus grand se désigna volontaire pour s’occuper d’Anaïs. Je demandais à l’autre de ne pas ménager Manon tandis que j’expliquais calmement ce que j’attendais de son compère. Aurore revenait à la vie et son regard sur moi changea du tout au tout. Toute méfiance avait disparu, pour ne laisser place qu’au désir, à l’excitation et à une liberté totale dans ses ...