1. Une mère pas comme les autres... (33)


    Datte: 25/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... d’Aurore qui pencha sa tête en arrière, la laissant pendre dans le vide, entre les jambes d’Anaïs, à quelques centimètres de ma fiancée qui ne pourrait rien perdre du spectacle.
    
    Je retirais lentement le dernier rempart sur la chatte de ma partenaire et ma langue se posa sur le clitoris déjà dur d’Aurore et se délecta de son goût. Cette coquine ne m’avait pas menti. Sa chatte et son vagin dégoulinaient de sa cyprine.
    
    Son jus était doux, liquoreux et suave. Un vrai festin à lui tout seul.
    
    Je passais ma langue entre ses lèvres ouvertes et offertes, l’introduisit dans son vagin avec douceur et délicatesse, puis en passant mes mains sous ses fesses, je la soulevais pour caresser son anus et remonter sur le périnée.
    
    Ce traitement semblait lui convenir car elle ondula lentement sous la caresse tout en soupirant d’aise.
    
    — Mmmhhh...Votre langue est habile. Mais serez-vous capable de me faire jouir ?
    
    Je souris entre ses jambes à cette provocation excitante.
    
    Je jetais un coup d’oeil à Maman pour constater qu’un homme lui ramonait la chatte à l’aide d’un gode en plastique de belles dimensions tandis qu’un autre lui suçait les seins avec délectation.
    
    Je n’avais pas remarqué que le couple qui était entré n’en était pas un mais deux hommes bien bâtis, dotés de sexes impressionnants mais dont ils ne pourraient user sans mon consentement.
    
    Tandis que je replongeais entre les cuisses d’Aurore, une idée me traversa l’esprit. J’allais la mettre en pratique dans ...
    ... quelques instants.
    
    Pour le moment, ma langue se délectait des goûts assaillants ma bouche. Je léchais et je suçais la chatte offerte avec une avidité et un plaisir fou. Aurore soupirait avec force et ses gémissements devenaient de plus en plus audible.
    
    En levant les yeux, je constatais que sa tête pendait toujours et qu’Anaïs devait avoir une vue parfaite sur le plaisir que ma partenaire ressentait. Lorsque cette dernière posa ses mains sur ses seins pour les caresser, je sus que l’échéance était proche.
    
    Ses gémissements se transformèrent en cris d’extase et, bien que je ne la voyais pas, je sus qu’elle avait les yeux ouverts et qu’elle fixait Anaïs.
    
    Se délectait-elle de la détresse que je pouvais lire dans ses yeux ? Fantasmait-elle sur les courbes de ma fiancée ? Anaïs excitait-elle cette jeune femme qui venait de m’avouer ne pas refuser les charmes des dames ? Un peu de tout cela à la fois ?
    
    Les mains d’Aurore caressaient avec force ses seins, qu’elle avait éjecté de leur prison de dentelles pour les presser l’un contre l’autre, tirer sur des tétons tendus tandis que sa respiration se faisait saccadée et haletante.
    
    Lorsque je la pénétrais avec deux doigts courbés vers le haut pour effectuer une pression sur le point sensible du sexe des femmes, son orgasme se déclencha dans un cri libérateur qui fit se retourner les hommes occupés à torturer efficacement Maman.
    
    La surprise continua lorsqu’un flot sortit du sexe d’Aurore pour s’écraser contre ma ...
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