Céline et mon collègue - La première fois
Datte: 12/08/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
extraoffre,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
confession,
Auteur: Clyde, Source: Revebebe
... absorber son gland puis descendis sur la hampe jusqu’à sentir le gland dévaster le fond de ma gorge. Sous l’effort, je régurgitai un peu de salive. Un bruit mouillé saluait mon mouvement quand je commençai à pomper le chibre de mon étalon.
Son désir le submergea bientôt. Alors, il me repoussa doucement, m’invitant à m’allonger sur le dos afin qu’il me chevauche, prenant position entre mes cuisses. Mon sexe ruisselait de mouille, transpirant mon désir. Je guidai de la main son bâton de chair entre les lèvres de ma vulve. Fabrice me pénétra, lentement, tendrement tandis que nos regards se fondaient l’un dans l’autre. Je fermai les yeux pour mieux le sentir dilater mon vagin. Mon sexe s’ouvrait avalant le puissant organe de cet homme dont le poids m’écrasait. Quand il fut entièrement en moi, il s’immobilisa, m’embrassant avec tendresse. Nous sommes restés un instant ainsi, nos corps et nos bassins étroitement soudés.
Oh ! Comme il était délicieux d’être ainsi remplie.
Puis il commença à bouger et aussitôt je sentis la jouissance monter en moi. Je relevai alors mes jambes, ceinturai son bassin et calai mes talons sur ses fesses, l’emprisonnant ainsi au plus profond de moi. Puis j’entrepris de mouvoir mon bassin et ma prise aidant, j’imposai mon rythme avant d’exploser dans un océan de volupté, puis je sentis Fabrice prêt à jouir à son tour. Il se raidit et déversa son flot d’amour au plus profond de mon ventre. J’eus un nouvel orgasme, plus puissant. Paraîtrait que j’ai ...
... crié, que j’ai hurlé mon plaisir.
Nous restâmes collés l’un sur l’autre, lui sur moi pendant que nous reprenions souffle. Fabrice m’embrassa de nouveau. Ma langue fouillait sa bouche, marque de reconnaissance envers cet homme, pour le bonheur qu’il m’avait donnée.
La pensée de mon époux me vint à l’esprit, j’aurais aimé qu’il soit avec nous mais je subodorai déjà que cela pourrait fort bien survenir un jour prochain si chacun y mettait du sien…
J’ouvris enfin l’étau de mes jambes et par suite libérai Fabrice, lequel se dégagea de ma grotte puis s’allongea à mon côté sur le lit. Un profond sentiment m’envahit qui me poussait à poursuivre le câlin. Je me mis en position et léchai ce membre qui m’avait si bien remplie, comme une chatte lèche ses petits, nettoyant soigneusement les humeurs de notre union. J’aimai le goût de son sexe couvert de mes sécrétions et de son sperme.
Je sentais nos excrétions s’écouler hors de ma vulve et inonder l’intérieur de mes cuisses. Ma main recueillit un peu de ce nectar, fruit de notre étreinte adultérine, et spontanément je portai mes doigts à mes lèvres pour en goûter la saveur. Amoureux, Fabrice m’embrassa, partageant avec moi la liqueur de nos amours.
Nous aurions voulu rester ainsi mais il nous fallait revenir au salon.
***
Cette histoire s’est déroulée il y a deux ans.
Depuis Fabrice vient très régulièrement nous voir. Je devrais plutôt écrire qu’il vient me voir et même très souvent en cours d’après-midi, alors que ...