1. Céline et mon collègue - La première fois


    Datte: 12/08/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, extraoffre, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, confession, Auteur: Clyde, Source: Revebebe

    ... laisser seuls tous les deux. Je sortis, accompagné par le regard attendri de Céline. Je retournai au salon, après avoir fermé soigneusement la porte de la chambre sur l’union des amants.
    
    Seuls les soupirs et les gémissements me renseignaient désormais. J’imaginai mon aimée aux prises avec le désir de mon collègue.
    
    ***
    
    Je laisse à Céline le soin de terminer notre récit…
    
    ***
    
    La lecture de ce qui précède me rappelle cet instant de pur bonheur et c’est très excitée que je me remémore ce qui s’est passé.
    
    Quand la porte de la chambre fut refermée, j’ai invité Fabrice à venir contre moi, et nous nous sommes longuement regardés avant de nous embrasser.
    
    Je n’avais pas pris la peine de réfléchir vraiment à la situation mais je crois que j’avais très envie de connaître l’amour, rien qu’une fois, avec un autre homme. Et en plus, c’était pour la bonne cause, pour rendre service…
    
    Nos lèvres se sont unies, nos langues se sont mêlées. Mon bassin cherchait presque malgré moi le sexe de Fabrice que je sentais dur contre mon ventre.
    
    Ses mains étaient partout à la fois, s’affairant sur mes seins ou bien mes hanches puis glissant vers mes cuisses, s’attardant un instant sur mon sexe baveux, revenant ensuite caresser mon visage, dessinant le contour de ma bouche…
    
    Pendant ce temps, sa bouche me couvrait de baisers sur le visage, le cou, la naissance de mes seins…
    
    Moi, je le voulais en moi, je voulais sentir son sexe dans le mien.
    
    — Fabrice, attends ! Lève-toi ...
    ... !
    
    Debout, face à face, j’entrepris de déboutonner sa chemise. Lui se laissait faire, il n’avait souci que de m’embrasser, sa bouche revenait sans cesse se poser sur la mienne.
    
    Je n’avais jamais trompé mon mari. Cette situation était nouvelle pour moi. Le fait de déshabiller un autre homme me troublait beaucoup. L’impatience guidait mes mains, des ondes de désir me faisaient frissonner toute entière.
    
    Quand nous fûmes nus tous les deux, Fabrice s’écarta pour m’admirer. Je ne pus, pour ma part, m’empêcher de reluquer son pénis. Il était dressé, arrogant et impressionnant… Il ne pouvait me rendre meilleur hommage. Je me retournai alors, ouvris le lit, puis invitai mon partenaire à s’allonger. Après qu’il l’eut fait, je m’étendis de tout mon long sur lui, son sexe frottant mes cuisses. Nos épidermes s’unissaient, délivrant des frémissements délicieux, lesquels dénonçaient notre désir mutuel. Un sourire de connivence, illuminait nos visages.
    
    Je pris l’initiative et embrassai son buste musclé ; ma main partit à la découverte de son membre viril. Il était beaucoup plus « imposant » que celui de mon époux. Quand mes doigts encerclèrent son pénis Fabrice poussa un profond soupir…
    
    — Oh, ça fait si longtemps et tu es si belle et si excitante. Oh Céline…
    
    Je souris en retour et descendis sur son corps jusqu’à avoir le visage au niveau de son sexe, que j’embrassai alors. Il était gros et dur, beau, qu’il était beau ! Ma bouche était avide de le recevoir, je commençai à ...