Sa première fois. (1)
Datte: 23/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Exemple18, Source: Xstory
... parties. La musique qui l’astiquait avait un goût divin et des sonorités de rêve, cela faisait schlac et schlic, et d’autres bruits alors qu’elle se livrait sous ma chevauchée fantastique. Au lit, c’était une femelle de rêve, je me répète. La consistance de ses chairs et la douceur de ses seins, sa toison pubienne rêche et sa fente profonde, ses reins solides qui donnaient la réplique avec avidité, et son rythme, son rythme endiablé jamais en reste, ni retard, ni décalage, une épousailles parfaite au point que je m’interrogeais du pourquoi nous nous étions séparés.
Mais les états d’âmes n’étaient vraiment pas d’actualité dans ce concert de plaisir où nous nous exécutions avec une hargne de rattrapage accélérée. Alors que mes vives secousses, lui agitaient les seins, je la dévorais de baisers dans sa bouche gourmande. Autour de ma bitte, elle tressautait des cuisses, cabrait les reins et m’étreignait le dos de ce que je sentais presque comme des coups de griffe. De toute évidence, elle était en manque depuis quelque temps, et cela tombait très bien, car moi aussi !
Histoire de varier les plaisirs, je la retournais comme une crêpe en la mettant à plat ventre pratiquement sans m’extraire tellement la transition fut brève. Je n’avais plus son visage en face mais ses cheveux touffus où je me perdais pour aller mordiller sa nuque, dégager ses épaules nues et contempler son dos dont le dessin au-delà du creux des reins accusait une remontée spectaculaire à la ...
... provocation assumée. J’adorais vraiment son cul, ses belles fesses replètes et fermes qui me massaient le ventre. Je les écartais pour l’enfiler à vif galop pour nous remettre en scène sans perdre une seconde de contact. J’atteignais ainsi rapidement le fond de son con dans lequel je frappais du gland avec une envie d’y livrer un océan de foutre, mais je temporisais, saisissais ses deux seins qui débordaient en latéral, m’attardais sur ses hanches solides, et puis, et puis, d’un coup l’idée me vint de l’entreprendre ailleurs, en d’autres mots, de l’enculer, ce que nous n’avions jamais pratiqué ensemble.
La bitte puissamment humectée de son jus, je savais la proximité aisée à franchir, elle ne se doutait de rien, c’était certain. Je remontais la hausse du fut vers le petit canal discret tapis profondément dans sa vallée sombre. La queue en cœur de cible, je l’enfilais d’une traite, pratiquement à me la faire dévorer. Comme elle n’était pas sèche, j’y mettais toute la bonne volonté de ma bitte. Des soupirs, elle passa à un cri avec violence avant de s’agiter en tout sens dans un concert de surprise et de plaisir abruptement révélé. Haletante sous la poussée de cette occupation impromptue qui la clouait dans une jouissance ignorée, elle feula en se retournant brusquement vers moi "mais t’es où ?", qu’elle me demanda affolée ? Là, tu sais où, c’est profond et très bon, ton étreinte est magique. Mais comment, qu’elle répliqua en s’agitant de plus belle, je ne connaissais pas, mais ...