Sa première fois. (1)
Datte: 23/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Exemple18, Source: Xstory
Il fut un temps où j’avais une estime particulière pour les suceuses, qui, loin d’être une pratique banale relève, à mon sens, de l’art, du grand art. N’est pas suceuse qui veut qu’elle avale ou non. Cela dit, celles qui ingurgitent figurent dans le haut du panier, si je puis m’exprimer ainsi. J’en arrivais même à développer une véritable mystique de la pipe... Pour être honnête, j’y fus initié par une certaine Annie-Claude. À la pipe, non, à sa mystique, oui. Mais c’est une autre histoire que je voudrais conter, celle de Saida que j’enculais pour la première fois. Non que ce soit pour moi la première (ni la dernière), mais, pour ce qui la concerne ce fut une inauguration impromptue dans un continent qu’elle n’imaginais pas praticable de cette manière, sans parler du plaisir que je lui arrachais.
Pour moi, Saida était une ancienne amante, une baiseuse de première mais qui ignorait cela. L’époque était aux partenaires successifs, pour ne pas dire multiples, dans un climat de libéralité sexuelle dont nul ne se plaignait. Un soir où je l’avais invitée avec un couple d’amis à dîner arrosé, je lui proposais de dormir à la maison... Elle accepta spontanément, sachant bien que nos relations n’avaient que récemment été interrompues. Je dois dire que "nos sangs étaient, à peine en secret, furieusement agités", et que j’avais souvenir d’une étreinte de ma jambe entre ses genoux sous la table sans aucune ambigüité. Comme je l’ai dit, c’était une superbe baiseuse, qui savait se donner ...
... et exiger d’elle-même. Nous faisions l’amour avec une grande complicité, mais un jour, des choses étaient arrivées... Je ne m’en souviens qu’à peine, mais je me retrouvais avec une autre partenaire, et en écho, elle aussi... Je gardais le souvenir ému de son corps racé et tout de fermeté, et ce soir là, cela m’appâtait grave.
Ma chambre étant occupée par mon couple d’amis, je lui proposais la chambre d’amis, presque un cagibi sous les toits, mais qui avait l’avantage d’un lit une place. Juste ce qu’il fallait. OK, on dort ? Mais bien sûr que je lui répondais en me mettant entièrement à poil ! Elle jeta un regard coquin à ce qui tendait vraiment à se dresser entre mes jambes, et avant même de se dénuder, elle voulut me sucer tout en cueillant les bourses comme elle savait si bien faire. J’atteignais en une fraction de seconde la station verticale devant celle qui m’honorait assise sur le lit. Elle avait l’art d’une prise de gland très douce, tout en menaçant de l’affermir çà et là. C’était très bon, mais était loin de suffire, le souvenir de son corps et de ses courbes m’affamait. Je la déshabillais autant que je le pouvais dans la situation où elle était, puis la couchais sur le dos avant de l’enfiler latexé dans toute sa profondeur jusqu’à lui faire exploser des hoquets de sanglots. Bon dieu comme c’est bon, qu’elle m’assurait, ça faisait longtemps, dit !
Quelques mois seulement, mais le plaisir était intact. Elle mouillait abondamment au point de me ruisseler sur les ...