1. Le temps des olives


    Datte: 18/02/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... majorité des gens. Finalement, dans un soubresaut bienheureux, Yanis prend une autre pose. Cette fois il est sur le dos, et le morceau de lui qui la retenait quasiment prisonnière lève le camp. Par la même occasion, sa main repousse le drap, découvrant son corps d’homme pas totalement nu, fort heureusement. Ça suffit pour que le calme revienne dans l’esprit de Mélinda. Et avec celui-là, une reprise de son sommeil interrompu.
    
    Le soleil, par les interstices des persiennes, fait tressaillir la femme qui ouvre les yeux. Yanis est toujours là, proche d’elle. Il ne porte qu’un slip de coton sombre. Pour ne pas le réveiller, Mélinda ne peut que rester tranquille. Mais son regard reste rivé sur la bosse qui déforme le caleçon de ce frangin perdu dans un rêve, ou un cauchemar. Sans doute que c’est très érotique parce que ce qui tend le tissu n’a rien d’anodin. Et revoici au grand galop une chaleur sourde qui monte partout en elle. Mentalement, elle se traite de « salope » ! Ce type qui visiblement bande, c’est son frérot ! Il n’est donc pas permis de penser à…
    
    A-t-elle fait un mouvement ou bien émerge-t-il tout bêtement de son néant ? Il vient d’ouvrir un œil. Celle qui se trouve à ses côtés ne semble pas bouger. Dort-elle toujours ? La main droite du bonhomme se porte sur la déformation qui fait genre dans l’espace comprimé du calbute. Nouveau coup d’œil vers la forme endormie. Rien ne bronche. La paluche qui frotte doucement l’excroissance matinale se déplace et soulève ...
    ... l’élastique. Lui donner un peu d’air, desserrer l’étreinte du chiffon qui comprime la bête. Et d’un coup, la tige sort comme mue par un ressort de sa prison de fibres.
    
    La tête masculine sur l’oreiller fait un quart de tour, histoire de s’assurer que sœurette pionce toujours ? Pas de souci de la part de la miss. Ce que ne sait pas vraiment le loustic, c’est qu’entre ses paupières à demi closes, Mélinda observe avec attention. Elle voit donc le bout des doigts se réunir en chapeau sur la partie mobile de ce sexe tendu. Et le mouvement du poignet inique clairement que Yanis, sans remuer le moins du monde le lit, se masturbe tout en douceur. Et de sa patte libre, il soulève maintenant le bas de la chemise de nuit, qui lors des gesticulations nocturnes dont la sœur n’a gardé aucun souvenir, s’est trouvée retroussée bien haut sur les cuisses.
    
    Difficile de rester de marbre alors que le rouge lui monte aux joues. Elle doit ne pas alerter son frère sur son état d’éveil. Oh ! Il ne cherche pas à toucher, à tripoter. Il ne veut que voir, pour alimenter les images que son cerveau lui envoie, entretenir son érection par la vue ? Mais voir quoi ? Un bout de cuisse, une hanche ? Le vêtement ne peut guère être plus relevé sous peine de mettre en alarme les sens de Mélinda.
    
    — Mélinda… tu dors ?
    
    —…
    
    — Tu ne roupilles plus, avoue-le ! Ça te fait plaisir de me voir bander ?
    
    —… ? Hein… Ah ! C’est encore toi ? Pourquoi me réveilles-tu Yanis ? Et puis qu’est-ce que tu fabriques ? ...
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