1. A la merci de mon beau-frère Ch. 07


    Datte: 12/08/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... pouvais m'empêcher de gémir de plaisir.
    
    Elle pressa son clito contre le mien, puis elle se pencha en avant de telle façon que ses tétons dardés frottent contre les miens à chacun de ses mouvements.
    
    Je cherchais de toutes mes forces à penser aux choses qui me révulsaient le plus afin d'endiguer les vagues de plaisir qui déferlaient dans mes reins.
    
    Mais dès qu'elle se mit en action je perdis tout contrôle de mes sens.
    
    Elle aussi être très excitée parce qu'elle jouit presque immédiatement.
    
    Je pouvais sentir chacun de ses muscles se crisper et se détendre tant elle pressait son corps contre le mien.
    
    On jouit de concert nous tortillant lascivement l'une contre l'autre créant de nouvelles sensations enivrantes.
    
    Je n'avais jamais imaginé, encore moins expérimenté d'émois aussi incongrus.
    
    J'étais si serrée contre elle que je pouvais sentir son sang bouillonner dans ses veines, je savais qu'elle ressentait les mêmes émotions que moi.
    
    Et cependant, toutes les fibres de mon corps hurlaient que ce n'était pas bien! ....
    
    Je n'avais jamais été attirée par les femmes jusqu'ici! ....
    
    Si j'avais su plus tôt que c'était une jeune femme qui me caressait, je n'aurai ressenti que de la répulsion, mais le temps que je le réalise, j'étais sous le ...
    ... charme.
    
    Je rebondissais d'orgasme en orgasme, j'étais totalement incapable d'exercer un quelconque contrôle sur mes sens.
    
    Yan m'avait violée et humiliée bien des fois, mais il me semblait que cette fois c'était mon âme qu'on violait.
    
    Elle se redressa et se débarrassa du double dong, je prenais conscience que les hommes qui se branlaient nous avaient consciencieusement aspergées de foutre.
    
    Quelqu'un me tendit mes vêtements et, honteuse je me rhabillais prestement.
    
    La foule des spectateurs se dipersait lentement et je me retrouvais rapidement en compagnie de Yan dans un taxi qui nous ramenait à la maison.
    
    Je ne protestais même pas lorsqu'il me réclama une pipe pour passer le temps.
    
    Aussitôt rentrés, il sortit une petite caméra vidéo de sa poche et m'entraîna à l'étage.
    
    Il brancha la caméra sur l'écran télé et me baisa lubriquement alors que la scène qu'il avait filmée se déroulait sur l'écran.
    
    En inclinant la tête je pouvais voir chaque étape de ma dégradation, petit à petit mon engourdissement se transforma en colère brûlante.
    
    Alors qu'il jouissait en moi, je jurais que je trouverai un moyen de le faire souffrir comme il venait de me faire souffrir.
    
    Coulybaca
    
    6 juillet 2007
    
    Texte d'un auteur inconnu traduit de l'anglais par Coulybaca 
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