1. A la merci de mon beau-frère Ch. 07


    Datte: 12/08/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... à sa place dans un saloon de western dirigeait le bar.
    
    Yan prit plusieurs boissons et m'entraîna dans une des salles du fond.
    
    Une table de snooker emplissait la pièce ça semblait être le seul meuble avec un juke-box décrépit.
    
    Yan me donna les boissons et me les fit boire le temps que la salle se remplisse graduellement.
    
    - "Et maintenant je veux que tu grimpes sur le billard et que tu fasses un strip-tease pour ces aimables consommateurs! ..."
    
    Je le regardais incrédule.
    
    - "T'es cinglé! ... Il n'est pas question que je me foute à poil! ..." protestais-je vigoureusement.
    
    Il sourit cruellement.
    
    - "Ma promesse ne compte que si tu m'obéis aveuglément! ..." me rappela-t-il narquoisement.
    
    - "Je suis sûre que je me divertirai beaucoup à voir tous ces hommes te sauter! ..."
    
    - "Tu ne devais pas! ...." protestais-je sachant très bien que je pouvais toujours contester, de toute manière il ne tiendrait aucun compte de mes dénégations.
    
    - "Je vais jusqu'au juke-box mettre un peu de musique... D'une façon ou d'une autre tu vas divertir l'assistance! .... A toi de choisir comment! .... Et surtout ne pense pas que tu puisses t'enfuir! .... Toutes les issues sont verrouillées, tu ne ferais que les rendre agressifs! ... Si cela arrivait, je serai bien incapable de les contrôler! .... Tu ne veux pas que cela se passe si mal, n'est ce pas? ..."
    
    Avais-je réellement le choix?
    
    Il m'invitait à honorer ma promesse.
    
    Si je me pliais à sa volonté rien de pire que ...
    ... cette humiliation ne devait m'arriver.
    
    Je grimpais sur la table de billard et priais pour ne pas avoir l'air trop ridicule.
    
    La musique retentit, un air connu avec ligne de basse palpitante.
    
    Je sentais des dizaines de regards ramper sur mes appâts lorsque je me mis à bouger.
    
    Je lançais la tête en arrière et fixais mes yeux sur la frise murale faisant le tour de la pièce.
    
    Je cherchais à m'abstraire de ce que je faisais, le seul moyen était de bloquer mon esprit sur d'autres choses.
    
    Je cherchais à me concentrer sur cette foutue frise admirant le travail des artistes qui avaient produit cette oeuvre, me demandant si je pourrais en faire faire autant dans ma demeure.
    
    Déjà j'avais fait glisser ma courte veste sur mes épaules, la jetant sur le billard.
    
    Les spectateurs applaudissaient et tapaient des pieds au rythme de la basse.
    
    Je commençais à défaire le nœud fermant ma brassière tout en paradant, faisant le tour du billard.
    
    Je me penchais en avant et dégrafais les attaches du bas de mon sarouel.
    
    Cela devenait de plus en plus difficile d'oublier ce que je faisais et de me déshabiller en même temps.
    
    Comme je me tortillais au son de la musique je découvris avec stupeur que je ne pouvais pas voir les spectateurs sans trop de gêne.
    
    Les lumières étaient dirigées sur le billard alors que le reste de la salle était plongé dans l'obscurité.
    
    Cela me facilitait la tâche, je m'en réjouis profondément.
    
    La fermeture du sarouel à la taille consistait en ...
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