Un si bel été, et ses suites (14)
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Janus04, Source: Hds
... chambre.
« Ne bouge pas, je reviens. »
Elle file à la salle de bain, revient après quelques minutes, nue. Elle est belle, la taille fine, les hanches un peu larges, des seins tout ronds. J’ai eu le temps de me déshabiller et elle me rejoint sur le lit. Etroitement serrés, nous nous embrassons de nouveau tandis que nos mains descendent vers notre pubis. Elle caresse doucement mon sexe et mes testicules. Ma main se pose, entre ses cuisses, sur sa toison de poils taillés courts qui couvrent comme une douce fourrure sa motte rebondie. Sous ma paume le clitoris pointe, je le saisis entre deux doigts et je peux le branler comme une petite bite. Marianne réagit aussitôt. Ses « Ah, oui » s’enchainent tandis qu’elle serre fermement ma queue et me branle. Elle m’attire sur elle et je pénètre sa chatte ouverte et trempée. Ma bite est aussitôt étreinte de contractions ininterrompues tandis que ses « Ah, oui » se font plus bruyants. Nous basculons ensemble et c’est moi à présent qui suis sous elle qui me chevauche avec fougue. Ne pouvant me retenir plus longtemps, je lâche mon sperme et son cri de plaisir se joint au mien dans un accord parfait.
« Maman, qu’est-ce que tu fais ? »
Le petit Pierre, sans doute réveillé par nos cris, se tient à la porte de la chambre, tout ensommeillé.
« Ce n’est rien, mon Pierrot, maman joue avec ...
... Nicolas.
-Je veux jouer aussi.
-Non, c’est des jeux de grands. Allez, il faut retourner faire dodo. »
Elle se lève et me jette : « Ne bouge pas, je reviens ». Elle raccompagne son fils dans sa chambre et me rejoint sur le lit. Appuyée sur un coude, elle regarde et caresse ma queue :
« C’est quand même drôlement agréable, ce machin-là. Tu te rends compte, je m’en suis privé pendant plus de deux ans ! »
Elle semble bien décidée à rattraper le temps perdu. Elle me décalotte complètement le gland, le lèche à, petits coups de langue, puis l’absorbe et le tète comme un biberon. J’ai tôt fait de retrouver une complète érection dont elle tire parti. Elle se présente en levrette, et le temps d’admirer ses fesses rebondies je suis de nouveau en elle. Au comble de l’excitation, je réussis à lui procurer une série d’orgasmes avant d’éjaculer de nouveau.
Quand nous retrouvons enfin notre calme, Marianne me dit :
« Ma soirée a été parfaitement réussie grâce à toi. Mais je préfère que Pierre ne te trouve pas ici demain… enfin, ce matin. Je vais t’appeler un taxi. Mais j’aurai certainement encore besoin d’un baby-sitter.
-J’espère bien !
-Oh, Nicolas, tu ne peux pas savoir le plaisir que ça m’a fait ! »
J’ai failli m’endormir dans le taxi.
« On est arrivé, chef. Vous bossez de nuit, je suppose.
-Oui, du baby-sitting… »