Vacances à la neige (2)
Datte: 16/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: doumeg170, Source: Xstory
... revaudrai ça ! » décide-t-elle. Michel prévenant arrange les coussins. Il installe Françoise et s’assied à ses côtés. Elle se serre contre lui.
— Ça va ?
— Oui, je suis bien.
Ils ne disent mot pendant la projection. Le bras de Michel s’ankylose. Il se dégage.
— Où vas-tu ?
— Aux toilettes, tu permets ?
— J’irai après toi.
Il jette un coup d’œil sur le dortoir. Isabelle est assise sur le lit entre Sylviane et Annie. Il n’en est pas sûr, mais il lui semble que ses deux mains sont occupées. Cela le gêne. Elle devrait faire attention avec Annie, ce n’est pas prudent, s’inquiète-t-il. Puis il hausse les épaules. Si Sylviane n’y voit aucune objection, il ne va pas se faire du mauvais sang pour elles, se justifie-t-il. A son retour, les trois femmes n’ont pas bougé. Non, une seule main d’Isabelle est occupée, coincée entre les cuisses de Sylviane. L’autre pend sur l’épaule de l’adolescente. Sans pouvoir se l’expliquer, il est rassuré.
Il croise Françoise. Excité, il veut l’enlacer. Elle se dégage.
— Chut, tout à l’heure.
A son retour, elle se replace à ses côtés. Il enfile la main dans l’encolure du pyjama et la pose sur un sein tendre. La jeune femme roucoule et se love contre lui. Ses doigts atteignent le téton qu’ils manipulent doucement. Il frémit de tout son corps quand une main se pose sur sa cuisse, haut, près de l’aine. Ni l’un ni l’autre ne tente une caresse plus précise pendant la suite de la projection.
Les publicités en fin de programme ...
... les réveillent. Michel se lève. Il commence à déplier la cloison mobile pour séparer les deux chambres.
— Vous voulez dormir, n’est-ce pas ?
C’est plus une affirmation qu’une question. Il fait comprendre qu’il désire rester seul avec Françoise. Annie est déçue.
— Déjà ?
— Oui, n’oublie pas que tu dois te lever tôt demain. Ton cours commence à neuf heures et demie.
— Bon ça va, ça va, j’ai compris !
Elle quitte sa place auprès d’Isabelle et se glisse sous les draps. Michel ferme la cloison. Françoise est dans le lit. Seule la tête dépasse des couvertures.
— Tu ne fermes pas le rideau ?
— Tu y tiens ? Je n’aime pas dormir dans l’obscurité totale.
— Moi c’est la lumière qui me gêne. Tire-le un peu s’il te plaît.
Michel laisse visibles quelques centimètres de fenêtre. Françoise s’est installée comme Isabelle la veille, côté couloir. Michel grimpe sur le lit. Il ouvre les couvertures pour se glisser dessous. Il sourit, Françoise est nue. Il prend la jeune femme à bras le corps.
— Merci !
— Si tu tiens à me remercier, enlève ton pyjama. Je veux sentir ta peau sur la mienne.
En un clin d’œil, Michel se déshabille. Le pantalon et la veste volent dans la pièce. Ils s’embrassent. Michel patouille la chair tendre et moelleuse de sa partenaire. Il a l’impression qu’une pieuvre l’enserre de ses tentacules. Il se laisse manipuler, enveloppé par la fringale de Françoise. Par un reste de fierté, il tente de prendre l’initiative. Les deux amants roulent ...