Vacances à la neige (2)
Datte: 16/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: doumeg170, Source: Xstory
Vacances de neige - dimanche
Michel ouvre les yeux. L’aurore éclaire les cimes. Il consulte sa montre, sept heures moins dix, pas encore l’heure de se lever. Il prend conscience de l’envie pressante qui l’a réveillé. Il tend l’oreille. A coté, pas de bruit, ces demoiselles dorment. Inutile de s’habiller pour aller aux toilettes, personne ne le remarquera. Il sort du lit à moitié nu, prenant garde de ne pas troubler le sommeil de sa voisine.
Isabelle somnole. Elle rêve de la nuit passée, se demandant comment retrouver les sensations rares qui l’ont secouée. Lorsque Michel se lève, elle fait semblant de dormir et cache le sourire qui lui vient aux lèvres à la vision des testicules qui pendent entre les jambes.
Elle se tourne vers lui à son retour. Il est étonné de lui voir les yeux ouverts.
— Je t’ai réveillée ?
— Non, je ne dormais pas, je somnolais.
Elle se place sur le côté, les fesses contre le ventre de Michel.
— Serre-moi contre toi.
Il pose la main sur un sein nu. Le contact de sa peau a un effet immédiat. Il est gêné. La jeune femme ne va-t-elle pas s’offusquer de cette manifestation de son désir ? Il recule le bassin pour ne pas infliger sa virilité encombrante, mais Isabelle résiste et appuie son postérieur. La bouche de Michel est proche de l’oreille de la jeune femme. Il peut lui témoigner sa gratitude pour la veille, lui avouer son plaisir intense. Placés comme ils sont, elle ne le verra pas rougir.
— Tu sais ?
— Oui ?
— Hier ...
... soir... Euh... C’était la première fois...
— La première fois que tu fais l’amour ?
Elle a presque crié sa stupéfaction.
— Chut, laisse les autres dormir. Non, je voulais dire la première fois dans cette position.
— Et alors ?
— C’était... c’était... formidable... Merci, oui, merci.
Il appuie sur les seins pour renforcer son affirmation. Elle est émue de cet aveu. Elle aussi voudrait le remercier, mais n’en a pas le courage. Plus tard... Peut-être, songe-t-elle. Elle remue les hanches, espérant que Michel y devinera un signe de gratitude.
— Je peux te caresser, dis ?
Elle en meurt d’envie, mais est incapable de l’avouer. Il prend son silence pour acceptation. Il glisse le bras gauche sous le cou d’Isabelle et pose la main sur un sein. L’autre main navigue de la poitrine au ventre. A chaque passage, il repousse le pantalon. Pourquoi l’a-t-elle remis si elle voulait qu’il la caresse ? se plaint-il en silence. Il essaye de le faire glisser sur les hanches. Isabelle ne l’aide pas comme la nuit passée, mais elle ne contrarie pas ses tentatives. Tant bien que mal, il réussit à passer l’obstacle et patouille les fesses que sa verge frôle. Il prend la liberté qu’on lui accorde de fouiller des doigts le sexe humide qui s’ouvre à son intrusion. « Qu’est-ce qui me prend, je n’ai jamais été aussi excitée ! Quelle honte ! Que va-t-il s’imaginer ? » pense la jeune femme horrifiée par son comportement. Michel ne se pose pas de question. Il a entre les bras une fille ...