1. Le toboggan


    Datte: 14/02/2022, Catégories: fh, ff, fhh, voisins, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, attache, baillon, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... dirigées vers un autre but.
    
    Oh ! le matelas bouge derrière moi. Il bouge et aussitôt je sens toute la dureté d’une tige de chair. Une seconde j’oublie ma maîtresse pour tourner le regard vers le miroir qui me renvoie l’image fugace d’un corps sombre. Mais Nadia me rappelle déjà à l’ordre. C’est donc Martial qui est derrière moi.
    
    Martial dont je sens sa tige se frotter au sillon de mes fesses. Elle doit y trouver du foutre de son complice et j’en comprends l’idée alors que maintenant c’est une pointe qui s’appuie sur mon anus. Il veut me prendre par mon petit trou.
    
    « T’enculer, salope, aie au moins le courage de tes faiblesses. Pas juste une sodomie, mais une vraie possession, ton cul défoncé par son gros truc, sa bite de… »
    
    Ma petite voix a maintenant pris le parti de la salope contre celui des remords de l’épouse infidèle. Je ne l’entends plus alors que mon anus s’ouvre sous une sollicitation qui n’envisage pas le refus. Il s’ouvre, pourtant il n’a jamais vu passer pareil engin. La chienne que je suis, aidée par le foutre d’un autre l’encourage. Je sens ce monstre me dilater, repousser ma chair, avancer, avancer…
    
    Je n’arrive plus à me concentrer sur la chatte de Nadia. Toute mon attention est dirigée vers ce qui me gonfle le ventre.
    
    — Allez, Martial, on ne va pas y passer la nuit. Encule-la un bon coup.
    
    La garce, c’est Nadia qui veut que je reprenne mon ouvrage. Mon enculeur obéit et si je n’avais pas la bouche plaquée contre les chairs humides la pièce ...
    ... retentirait de mon cri. D’un coup de reins, il s’est propulsé au plus profond. Jamais mon boyau n’avait connu telle avancée. Une main m’ordonne de reprendre mes léchages. Martial commence à bouger. Chaque fois je sens son ventre alors que sa bite est toute en moi. Il m’encule. Encore, encore. C’est assez doux. Il s’arrête un moment. Je l’entends gronder. Il jouit déjà ? Mais non, c’est comme s’il voulait encore me pénétrer un peu plus. Une pression continue et puis ses mouvements reprennent, moins harmonieux, parfois désordonnés, mais je ne peux que lui pardonner si c’est parce que je le trouble à ce point.
    
    C’est bon. Mon cul s’est habitué, il a chassé toute appréhension pour ne garder que le meilleur.
    
    Nadia bouge. Je ne comprends pas. Elle se penche vers moi.
    
    — Ton téléphone sonne.
    
    Je mets quelques secondes à réagir. J’ai autre chose à penser que mon foutu téléphone sonne.
    
    — Laisse… Ahhhh
    
    Martial me pilonne. Putain que c’est bon. S’il savait que c’est moi ? Demain, lorsque je vais le croiser je vais avoir du mal à rester de marbre.
    
    Nadia a bougé, mon visage s’appuie sur le lit. Je vois le miroir. Je vois la chienne couverte par un mâle noir, mais je découvre aussi que Louis est derrière mon enculeur et que de la façon dont il se tient il ne peut qu’avoir glissé son dard dans le cul de Martial. C’est fou ! Jamais je n’aurais imaginé ça ! Deux hommes ! Martial que personne n’aurait pu penser apprécier se faire prendre par-derrière. Il n’a pas l’air de s’en ...