1. Le toboggan


    Datte: 14/02/2022, Catégories: fh, ff, fhh, voisins, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, attache, baillon, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... elle a adoré. Je monte et je reviens.
    
    La garce, elle parle pour moi. Non, il ne faut pas. Juste une fois, c’est tout… Mon fils, mon mari… Elle revient. Ils se servent à boire. Ils trinquent, ils boivent après un :
    
    — À toi, Anaïs, bienvenue dans notre confrérie. Tu verras, il y aura beaucoup de soirées comme maintenant.
    
    Louis aussi ne doute pas d’une suite. Les salauds, j’ai soif moi aussi.
    
    Mais Nadia vient avec un verre. Elle défait mon bâillon. Elle a la délicatesse de m’essuyer autour des lèvres pour enlever la « bave » que la chienne a laissé échapper. Elle me donne à boire. Un verre plein. Putain, que c’est bon. Mais elle remplit le verre à nouveau et au lieu de me le donner, le répand sur moi dans des coulures bien choisies.
    
    Alors elle suit les coulures avec sa bouche, sa langue. Elle met aussi un peu de champagne dans la bouche et la plaquant contre un sein, fabrique une baignoire où mon téton est caressé d’une langue avide. Je la sens excitée. Je la comprends, du spectacle que les hommes et moi lui avons offert à deux reprises et où elle n’a été qu’une spectatrice. Elle reprend sa descente et bien vite, repoussant mes cuisses que j’avais resserrées dans une tentative infructueuse d’empêcher les écoulements qui devaient me donner, encore plus, comme si c’était nécessaire, l’allure d’une vraie salope.
    
    Mais Nadia ne s’arrête pas à ce détail. Elle plonge littéralement entre les cuisses et d’une langue vicieuse recueille les coulures, jusqu’à venir les ...
    ... prélever à la source. Elle n’a pas de limites. Le pire c’est que cela m’excite. Il faut dire qu’elle ne fait pas que laper le foutre de Martial, elle en profite pour me gouiner. Je vais l’encourager, son idée est si transgressive que cela m’excite, mais je me retiens. Il me reste une once de bon sens et ce n’est pas maintenant que je vais prendre le risque de me dévoiler devant mon collègue.
    
    Mais Nadia a manifestement envie de plus. Elle se relève, fait sauter ses habits à une vitesse qui montre son impatience. La voici nue, toujours aussi désirable. Elle me détache. J’ai à peine le temps de me masser les poignets qu’elle les regroupe derrière mon dos pour m’immobiliser à nouveau.
    
    Le lit vers le miroir sans tain.
    
    Elle s’y installe en m’entraînant. Me voici à quatre pattes, sans moyen de me retenir et alors qu’elle appuie sur ma tête, je me retrouve le visage entre ses cuisses. L’invitation est évidente et je lui dois bien cela. Initiatrice, prédatrice d’une femme qui n’aurait jamais imaginé qu’un jour elle se retrouverait ici, dans cette pièce ou tout n’est que luxure, vice, mais aussi volupté, plaisir, jouissance.
    
    Je la gouine. Je suis à bonne école, elle me guide. Bientôt j’ai le plaisir de l’entendre gémir. Elle me laisse la liberté de la caresser. Je prends cela comme une récompense, je suis digne de la conduire à la jouissance. Ses mains me caressent le dos…
    
    Mais d’autres viennent la rejoindre. Des mains qui caressent mes fesses. Des caresses que je sens ...