1. L'étudiante sodomisée. (9)


    Datte: 13/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... m’interdis pas d’avoir recours à cette pratique pourvu qu’il y eût toujours au moins un garçon à participer, mais je sus que je ne rechercherais pas la compagnie exclusive d’une fille à cajoler.
    
    J’ avais désormais le museau trempé et, quitte à le mouiller, je préférais sans comparaison possible qu’il le fût avec du sirop de corps d’homme, dont j’appréciais la texture plus épaisse et gluante, y compris quand le sperme s’accroche encore entre les dents et, comme une salive épaisse, colle au palais longtemps après encore. Je décidai donc de revenir à une météo moins humide, mais, à ce moment précis, un mec me rentra dans le cul.
    
    Ainsi, la fille continua à me lécher l’abricot alternativement avec les pompons du garçon qui me besognait avec ardeur. Quant au copain de Clarissa, il vint la pénétrer, me permettant de ne plus la lécher. De temps à autre, il sortait sa pine et me la tendait, puis la remettait dans le trou.
    
    Le grand black qu’ils avaient recruté voulut sa part et demanda à ce que l’on interchangea.
    
    Je me retrouvai donc sur le dos, Clarissa qui suintait comme une cataracte au-dessus et le grand black m’enfila.
    
    Il était gros, mais manquait de raideur. Il fallait sans cesse le branler ou le sucer pour que son chibre durcisse, mais à ce moment-là, il était particulièrement voluptueux.
    
    Malgré les minutes qui filaient, l’ambiance très festive maintenait les yeux éveillés et les queues au garde à vous.
    
    Bien sûr, la suite n’est pas difficile à deviner. ...
    ... Bourrées de tous les côtés, dans toutes les positions, nous ne fûmes pas surprises par l’averse de foutre qui tomba sur nous, par ondées éparses et moins fournies que lorsque j’étais seule.
    
    Bien sûr, il ne fut pas question de se purger les burnes autrement que sur les seins, sur la raie, dans la bouche ou dans le con.
    
    Dès qu’un mec avait pissé son jus, sur l’une d’entre nous, l’autre devait bien sûr tout lécher et nous mutualisons ensuite par un baiser appuyé et c’était encore plus facile, bien évidemment, quand le gars nous avait juté directement dans la bouche. S’il avait joui dans le con, nous nous mettions en soixante-neuf puis nous nous roulions une galoche fougueuse.
    
    La fille aimait ça et moi aussi. C’étaient mes premières pelles au jus, car, si un garçon accepte de bon gré qu’on le suce, lui lèche la rondelle ou les couilles, la bouche pleine de sperme, aucun en revanche ne se laisse embrasser avec sa propre semence, encore moins celle d’un pote.
    
    Clarissa me glissa que certains bis n’y répugnaient pas et je me promis d’en dégotter un prochainement, car j’affectionnais particulièrement cet échange.
    
    Les étalons, rendus plus endurants par leur première décharge, mettaient cependant du temps à se vider les couilles et la soirée commençait à se prolonger au-delà du raisonnable. La fatigue gagnait et je devenais de plus en plus comme une poupée gonflable, encaissant les coups de queues sans rien dire, les bras de plus en plus ankylosés par la pratique des ...