1. L'étudiante sodomisée. (9)


    Datte: 13/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Je dois dire que c’est l’excitation du moment qui me poussa vers cette jeune fille dont je ne pouvais guère attendre que des satisfactions, pour moi, secondaires. Ce n’est pas que je dédaigne le frotti-frotta, mais j’étais venue pour me faire matraquer le cul. J’en avais d’ailleurs eu mon lot. Je n’étais pas mécontente et j’aurais même pu m’arrêter là, car j’étais sur les rotules. Mais la queue du black dans mes fesses était une perspective que je ne pouvais refuser. Du reste, le broute-minou qui s’amorçait allait me procurer un peu de repos.
    
    Nous nous embrassâmes donc, d’abord, du bout des lèvres. Puis, mais sur les hanches et seins collés les uns contre les autres, de plus en plus hardiment jusqu’à mettre la langue.
    
    Son mec s’était un peu approché pour voir.
    
    — Putain ! Ça pue le sperme ici!
    
    Dit-il.
    
    Une voix, derrière lui, l’invita à ne pas s’en étonner, vu la foule présente et l’heure fort avancée.
    
    Cette remarque fut-elle une prise de conscience pour Clarissa ? Toujours est-il qu’elle commença à me sucer le bout des seins puis à le lécher. Je me dis in petto qu’elle devait être comme moi, une tonne à foutre. Elle s’y prenait d’ailleurs très bien et nous étions de plus en plus à l’aise. Nos doigts désormais glissaient lentement sur nos raies respectives.
    
    Elle se rapprocha de moi et me demanda, au creux de l’oreille s’ils m’avaient éjaculé partout.
    
    — Partout?
    
    — Absolument partout.
    
    — Et c’était bien ?
    
    — J’ai adoré.
    
    Il était temps de nous ...
    ... allonger et nous nous mîmes en 69, elle dessous.
    
    Je sus rapidement à l’habileté de sa petite langue sur ma raie et sa dextérité à stimuler mon clitoris qu’elle n’en était pas, contrairement à ce qu’elle affirmait, à son coup d’essai en matière de gouinage.
    
    Elle savait parfaitement quoi faire pour me stimuler et elle ne fut pas longue à raviver les feux que les mecs avaient mis en moi en qui s’assoupissaient. Mais elle y allait avec délicatesse, lentement sans brusquer, ce qui tranchait avec les garçons qui, tous, m’avaient dévoré la moule comme des morts de faim.
    
    Quant à moi, je tentai de lui rendre la pareille et, assez maladroitement, j’essayais de reproduire ce qu’elle me faisait. Elle sembla apprécier, car, très vite elle se mit à tordre du cul.
    
    Les mecs autour étaient au comble de l’excitation et les commentaires décrivaient fort bien ce que je ne pouvais pas voir comme ce que je voyais de près.
    
    La fille avait la chatte poilue et bien noire, mais très entretenue. Pour la première fois, je goûtai à la cyprine, enfin autre que la mienne dont j’avais expérimenté les saveurs sur mes doigts où sur le gland de nombreux messieurs. Bien vite, cependant, j’en eus trop. La fille mouillait abondamment.
    
    L’exercice, au fond, n’était pas désagréable, mais je ne le pris que comme un accessoire. Cela n’avait rein de commun, avait une bonne grosse bite qui pulse au fond de la bouche comme un gros bonbon à la liqueur ou une part de gâteau plein de crème.
    
    Du coup, je ne ...
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