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Récit d'une expérience en club échangiste
Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, fhh, 2couples, grp, couplus, inconnu, boitenuit, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, jouet, Partouze / Groupe entrecoup, Auteur: Ludivine et Herbert, Source: Revebebe
... gens, nous leur devons du plaisir. Mais elle dut lire dans mes yeux que quelque chose n’allait pas et nous quittâmes cette pièce. Tout en déambulant, je racontai du mieux que je pus mes sentiments. Ludivine décida alors que nous devions rejoindre notre chambre. Là, je fus plus explicite. Je la vis tomber des nues. Elle m’adressa alors le plus beau reproche qui soit : — Tu aurais dû me dire que ça n’allait pas ! Nous aurions immédiatement arrêté cette expérience. Comment aurais-je pu accepter ce plaisir, si j’avais su que tu n’y participais pas ?! Elle me rappela aussi que nous nous étions promis lors de notre voyage aller d’abandonner tout essai qui ne nous conviendrait pas à tous deux, qu’aucun de nous ne devait se sentir forcé. — Tu sais, c’est notre amour qui est essentiel et le plaisir que nous ressentons à nous caresser l’un et l’autre. Ce que nous venons de vivre ne m’était aucunement nécessaire et le plaisir que j’ai ressenti n’est rien au regard du plaisir que tu me donnes chaque jour et de l’amour que j’ai pour toi. Elle était sincèrement stupéfaite et mécontente de ce que je lui aie caché mes sentiments de panique et de nausée. C’est ce genre de réactions qu’elle peut avoir en toutes circonstances qui me font l’aimer chaque jour un peu plus. Je la pris dans mes bras et nous nous embrassâmes longuement et passionnément. Elle me dit qu’elle ne souhaitait plus retourner dans les salles du club. Mais, en dépit de son amour, de sa totale sincérité, je ...
... ne pouvais lever le couvercle lourd et sombre qui recouvrait mon esprit. J’étais profondément perturbé et malheureux et je savais que ce trouble ne disparaîtrait pas en quelques minutes, ni même en un jour. Je repensai au cours de natation que je suivais étant petit. Un jour un garçon plus fort que moi m’avait maintenu la tête sous l’eau. Et pendant quelque temps, je m’étais refusé à retourner à la piscine et j’avais en tout cas abandonné les cours. Je m’étais toujours dit que si j’avais plongé dans le bassin immédiatement après avoir essuyé cette bagarre, j’aurais vaincu la panique qui m’avait submergé et j’aurais poursuivi les cours de natation. C’est pourquoi je décidai qu’il fallait retourner dans les salles dela F. et tenter de substituer une expérience positive au traumatisme psychologique que je venais clairement de vivre. Je craignais sinon de devoir à tout jamais abandonner l’idée d’explorer le libertinage avec mon amoureuse. Et je ne voulais pas, et je ne voudrai jamais, que quoi que ce soit puisse interdire à notre amour de lever tous les tabous et de rechercher tous les plaisirs. Je savais aussi que Ludivine avait goûté un réel plaisir, même si elle n’avait pas atteint l’orgasme. J’avais compris qu’une part cachée d’elle-même s’était dévoilée dans cette soirée. Que sa pudeur provenait d’un manque d’assurance, mais qu’elle avait en elle l’envie profonde d’être vue, de séduire. Qu’en un mot, l’exhibitionnisme et le voyeurisme lui allaient bien. Elle se sent trop ...