1. Récit d'une expérience en club échangiste


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, fhh, 2couples, grp, couplus, inconnu, boitenuit, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, jouet, Partouze / Groupe entrecoup, Auteur: Ludivine et Herbert, Source: Revebebe

    ... ronde et croit que son corps n’est alors pas séduisant. Moi, je la trouve infiniment belle, j’aime ses rondeurs. Tout en elle est tendu, ferme, plein. J’aime sa cambrure, j’aime son ventre. Lorsque je parcours son corps de mes mains, je ne sens aucune mollesse, aucun relâchement, aucun lymphatisme. Tout son corps est ferme, dynamique. J’aime la regarder, je sais qu’elle aime que je la regarde. J’aime quand elle se met à quatre pattes et m’offre la vue de son beau cul, quand elle le remue sous mes yeux et qu’elle se caresse. Je découvrais que ce plaisir qu’elle a à me montrer ses appas naît d’une envie plus profonde d’être aimée, regardée, montrée, désirée.
    
    Cette soirée nous apportait deux révélations : je n’étais pas sûr de moi et de ma virilité, Ludivine aimait sentir sa séduction. Je crois que toute notre vie est un apprentissage de nous-même. Dans notre vie sexuelle, cela est encore plus vrai. Combien d’années nous faut-il pour connaître pleinement les situations et les caresses qui déclenchent le plus profond plaisir ! La vérité exhibitionniste de Ludivine ne devait pas être gâchée. Tout plaisir nouveau est bon à prendre. Je devais l’aider à accepter cette vérité nouvelle, afin que, nous connaissant mieux, nous décuplions notre plaisir.
    
    Il me fut difficile de convaincre Ludivine de retrouver la foule échangiste. Mais nous y retournâmes, non sans nous être munis du petit vibreur, qui seul procure invariablement un orgasme à mon aimée.
    
    Pendant notre absence, les ...
    ... désirs s’étaient déliés et les couches dela F. étaient couvertes de corps nus. Des groupes de trois, quatre, cinq personnes faisaient l’amour. Nous déambulâmes longuement et lentement parmi les soupirs et les gémissements. Nous nous arrêtions parfois pour mieux voir les mouvements des corps. Ludivine me demanda :
    
    — Es-tu excité à la vue de ces gens qui font l’amour ?
    
    Je lui répondis que je ne ressentais pas de gêne, mais pas de plaisir particulier non plus à ce spectacle.
    
    — Moi, cela m’excite beaucoup, me dit-elle. Regarder m’excite.
    
    Dans une salle en bout du couloir, qui présentait un décrochement, une femme était assise sur les genoux d’un homme, face à lui, et les mouvements de son bassin montraient qu’il la pénétrait. Nous passâmes tout près d’eux pour voir ce qu’il y avait derrière le décrochement. Il n’y avait rien, mais en retournant sur nos pas, nous les frôlâmes. J’arrêtai le pas de Ludivine et je pris sa main. Je souhaitai qu’elle et moi caressions le dos et le cul de cette femme pendant qu’elle chevauchait son amant. Ludivine ne l’a pas voulu, trouvant déplacé que nous touchions un corps sans en avoir auparavant demandé la permission à sa propriétaire.
    
    Il y avait un peu plus loin dans le couloir une couche libre. Nous nous y assîmes et commençâmes à nous embrasser. Nous quittâmes ensuite nos vêtements et nous allongeâmes sur la couche étroite, nus l’un contre l’autre. Puis je me levai et commençai à lécher la chatte de mon amoureuse, tandis que mes ...
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