Récit d'une expérience en club échangiste
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
2couples,
grp,
couplus,
inconnu,
boitenuit,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
fdanus,
jouet,
Partouze / Groupe
entrecoup,
Auteur: Ludivine et Herbert, Source: Revebebe
... et d’analyser les situations avec une totale similitude, étions là confrontés à une différence. L’expérience de l’amour avec un autre couple la comblait manifestement totalement, alors que j’en ressentais du chagrin. Nous nous étions proposés ensemble de goûter aux plaisirs de l’amour pluriel, et voilà que Ludivine y trouvait un plaisir immense et moi pas. Il faudrait à l’avenir soit que nous renoncions à ces plaisirs là, soit que nous les vivions séparément. Et l’idée que je pourrais refuser ou interdire à la femme chérie un plaisir si fort m’était insupportable. Je me suis même dit, tant mes sentiments étaient affolants à ce moment, que c’était là le début de la fin de notre amour. Qu’ayant découvert le plaisir pluriel et constatant que je n’étais pas en mesure de l’y accompagner, elle finirait par me quitter pour vivre les délices nouvellement découverts avec un partenaire plus endurant, physiquement et mentalement.
Ne voulant pas gâcher le plaisir de mon amoureuse, qui n’avait rien perçu de mon trouble, je poursuivis mes baisers et mes caresses. La demi-heure qui suivit fut l’une des plus dures de ma vie. Pendant que je paniquais intérieurement sur ce que je croyais irréparable, je continuai de sourire extérieurement et fis semblant de trouver du plaisir. Que n’aurais-je donné alors pour être projeté loin de ce lieu, n’y être jamais allé, n’avoir jamais connu cette expérience, et me retrouver assis aux côtés de ma belle, à regarder n’importe quel film à la ...
... télévision !
Vous qui lirez ce récit, aurez sans doute beaucoup de mal à comprendre le dégoût que je ressentais en promenant mes mains sur la chatte et le cul d’Hortense, sur ses seins, comme le commandait le désir de Ludivine. Il y a sans doute du comique dans l’idée qu’un homme vive un supplice à caresser le corps d’une femme, mais celle-ci était tellement éloignée de mon désir et de mes pensées.
Je continuai donc de baiser le visage de mon amoureuse et d’encourager son plaisir par mes paroles. Roger s’était agenouillé et promenait sa langue sur la fente de Ludivine, lui titillant le clitoris. Hortense l’aidait à en tenir les lèvres écartées. Les caresses qu’Hortense prodiguait aux seins et aux cuisses de Ludivine avaient un côté léger et retenu, qui démontrait qu’elle n’avait pas de vraie tendance lesbienne. Je sentais qu’elle attendait de moi des caresses plus convaincues, moins distraites et qu’elle devait en concevoir un léger agacement. Je ressentais, mais avec une force infiniment plus grande, le même sentiment d’empêchement et de restriction que j’avais connu lorsque l’homme inconnu fouillait la chatte de Ludivine une heure plus tôt. Seuls la poitrine, le cou et le visage de ma chérie m’étaient accessibles. Lorsque mes mains descendaient vers son aine, elles y rencontraient le barrage d’autres mains. Son clitoris, sa vulve, son anus m’étaient inaccessibles. Un autre que moi léchait sa fente. Je me sentais presque totalement privé des moyens de donner du plaisir à mon ...