1. Pérégrinations publiques (1)


    Datte: 12/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    ... à lui. Un jeans slim clair que j’appréciais particulièrement, car il collait parfaitement à ses petites jambes et lui dessinait son cul à la perfection. Pour toute réponse, elle déboutonna son jeans, fit glisser la braguette de son pantalon, le glissant suffisamment pour me permettre d’avoir une vue sur son petit slip noir. Je regardai autour de moi. Gauche. Droite. Comme si je m’apprêtais à traverser. Personne. Je dois avouer que cette situation éveilla en moi un début d’envie. Peut-être plus qu’un début.
    
    Lorsque mes yeux se posèrent à nouveau sur elle, elle avait baissé son jeans à mi-cuisses et faisait de même avec son sous-vêtement, me laissant apercevoir un sexe parfaitement épilé, aux lèvres des plus discrètes. Je m’approchai d’elle. Elle défit, un à un, les boutons de mon propre pantalon, baissant mon boxer pour prendre mon sexe légèrement éveillé au creux de sa paume. Elle commença de légers mouvements de va-et-vient, dans une branlette un peu maladroite de par nos positions, avant de glisser mon gland contre les lèvres de son sexe. Elle continua de me masturber alors que je pouvais sentir la chaleur et la moiteur de son propre désir. Je ne tardai pas, comme vous vous en doutez, à rapidement bander sous cet acte, laissant deviner mon empressement par quelques coups de reins contre son intimité.
    
    Elle posa le haut de son dos contre le mur gris, se penchant légèrement. Je glissai en elle. Elle était humide. Je n’avais pas pris conscience de son désir brûlant ...
    ... jusqu’à ce moment. Si serrée et mouillée, de par cette position, je dois vous dire qu’il ne m’en fallut pas plus pour me sentir des plus chauffés. Je commençai un lent et court va-et-vient. Ses mains sur les pans de mon pantalon ouvert, elle appuyait mes mouvements, en tirant sur le jeans quand je venais elle. Je ne pus m’empêcher de regarder autour et au-dessus de nous si personne ne nous voyait, nous espionnait. À moins que cela soit l’envie que quelqu’un nous regarde. Peut-être, un peu des deux. Le petit chant des oiseaux avait laissé place à celui des gémissements de ma bien-aimée. Discrets. Mais profonds. Je m’enhardis, élevant ce chant dans sa superbe. Je voyais ses yeux fermés, savourant ce plaisir ; son sexe serré m’accepter jusqu’à la garde.
    
    Je ressentais un plaisir de plus en plus présent, ayant un souffle de plus en plus coupé. Bientôt, mes propres gémissements accompagnèrent les siens.
    
    J’allais et venais avec plus de puissance, moins de retenue. Je me sentais venir. Il ne fallut que quelques minutes pour que je vienne en elle. Je l’avais prise jusqu’à la garde et resta deux longues secondes, le souffle court, les mains appuyées contre la froideur de la pierre, avant de me retirer. Je vis ma semence couler de son sexe, toucher le fond de son slip. Elle le regarda, un instant, avant de remonter son slip, comme si de rien n’était, de se rhabiller après cette aventure.
    
    Nous reprîmes notre balade. Deux minutes plus tard, nous croisions un couple de sexagénaires. ...