Pérégrinations publiques (1)
Datte: 12/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
Avant toute entrée en matière, nous tenons à nous présenter au lecteur curieux voulant découvrir nos aventures quelque peu extraordinaires. Tout du moins, cette aventure en particulier. Nous sommes un jeune couple marié depuis deux ans maintenant. Connus lors de nos études, dans deux branches complètement différentes. J’étais en lettres. Elle s’intéressait plus à la finance. Une soirée étudiante. Je l’ai abordée et une sorte de connexion nous a directement arrimés. Elle vient de fêter ses vingt-cinq ans. Elle, c’est Géraldine. Un petit bout de femme d’un mètre soixante. De longs cheveux bruns. Des yeux noisette terriblement brillants. Des petits seins aux magnifiques tétons rosés. Elle a des hanches assez bien formées, juste ce qu’il faut, lui dessinant un petit cul que j’aime regarder. Moi, le grand mari qui lui permet d’ouvrir les bocaux en verre trop serrés, aide durant les courses pour prendre le paquet le plus haut de l’étagère.
Un bon mètre quatre-vingt pour la même nuance de cheveux. Coupés courts, parfois en pétards lorsque je retarde inexorablement le rendez-vous chez le coiffeur. Des yeux verts qu’elle trouve terriblement charmants. Je ne pense n’avoir rien oublié. Peut-être mon prénom. Appelez-moi Nathan.
Fort pris par notre travail durant la semaine, nous aimons nous retrouver le week-end. Et aimons, entre autres, nous balader en nature, insouciants des tâches ménagères, du temps qui passe. Je pense que tout a commencé par un week-end, transition entre les ...
... chaleurs de l’été et la fraîcheur de l’automne. Un soleil illuminait cette fin de journée. Nous avions décidé de nous promener autour de chez nous. Un gros village. Une petite ville. Quelle est donc la meilleure manière de décrire notre lieu de vie ? Soit. Cela n’a guère d’importance. La fraîcheur nous avait poussés à sortir nos vestes fines de saison. Vêtus de nos chaussures de marche, nous avions entrepris cette promenade, comme nous aimions le faire depuis un certain temps.
Aux abords de notre commune, il y avait un pont surplombant une ligne de chemin de fer. Un pont qui existe toujours. Si nous prenions les escaliers étroits qui s’y trouvaient, nous nous trouvions juste à côté de cette ligne, sur un sentier de forêt, en terre battue, qui faisait une boucle de quelques kilomètres parmi la petite forêt. C’était une partie boisée de quelques kilomètres carrés. Un vrai petit air de forêt. Nous aimions bien cette boucle. Arrivés au bas des escaliers, elle se cala contre le mur de pierres du pays et me regarda dans les yeux. Son regard étincelait.
— Je te veux, me dit-elle, d’une voix qui ne trompait pas.
— Là ? Tout de suite ?
J’étais étonné de sa proposition. Nous avions une vie sexuelle prospère et qui continue de l’être jusqu’à présent. Je ne revenais pas qu’elle propose cela d’un coup, dans cet endroit ouvert à tout promeneur, ou curieux se promenant sur cedit pont. Elle portait sa veste d’un gris foncé, ouverte sur un petit pull de laine d’un gris clair, quant ...