Les mille et une chattes de Mr Saint VIT, le "testeur" de Mme CLAUDE. (1)
Datte: 11/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... contexte, bien mieux que certaines secrétaires ou autres filles d’usine ou de maison.
Je vous ai dit que je me prénommais Claude, mais dans ces maisons, j’avais un autre patronyme, Comme ma mère était d’origine espagnole, mon deuxième prénom était Fabio et mon surnom Saint VIT. Vous voyez l’allusion ?
Il faut dire que ma mère et la nature, (mon paternel ?), m’avaient bien gâté. Une belle gueule, un corps d’athlète, et sans être prétentieux, un sexe de belle taille sans être démesuré. Mon éducation sexuelle précoce et peut-être une particularité physique un peu particulière a fait que Madame Claude s’est vite rendu compte du bénéfice qu’elle pouvait en retirer.
Chaque année, les filles avaient droit à une ou deux semaines de repos dans une grande propriété où elles se retrouvaient entre elles et où j’étais le seul homme présent. J’y passais mes deux mois de grandes vacances quand j’étais jeune et cette tradition a perdurée. C’est là que je connus mes premiers émois si l’on peut dire… Les filles se sont vite rendu compte de deux particularités qui faisaient leur bonheur : La première, c’est que j’avais tellement vu de scènes de sexe que j’avais réussi à contrôler à volonté mon érection, bandant et débandant à la demande. Mais celle qu’elles préféraient, ou redoutaient, c’est que je pouvais les coïter presque à l’infini, maîtrisant la montée du plaisir si longtemps qu’elles se demandaient si j’étais normal, comme certains acteurs porno.
Je pouvais les baiser à la ...
... chaîne et je ne m’en privais pas lors de leurs semaines de détente. Elles étaient incapables de me résister quand je lançais mon attaque prudente et compréhensive : les jeunes d’à peine dix-huit ans débutant dans le métier, les élégantes spirituelles de vingt-cinq à trente ans, même les plus expérimentées un peu plus âgées capitulaient. Elles étaient impuissantes, mues par de nombreuses impulsions de leur corps et me cédaient sans trop de difficultés.
En ce temps là, Madame Claude avait plusieurs « établissements », ayant jusqu’à 200 « collaboratrices » et quelques « collaborateurs ». Dans la dizaine d’années où exista son commerce, plus de 500 filles passèrent par ses maisons de plaisir. On ne rentrait pas comme ça chez elle, il fallait faire ses preuves, passer un entretien d’embauche puis une « épreuve pratique ».
Comme premier client, elles passaient toutes par moi, ne sachant pas que leur client n’en était pas un. Je devais estimer leurs capacités, leur manière de me faire bander, de me faire une fellation, d’apprendre l’art de mettre un préservatif sans craindre le gourdin qui allait falloir supporter en souriant au client. Persuadées de m’emmener en quelques minutes au plaisir, elles déchantaient vite et je pouvais tester leur motivation et la persévérance qu’il fallait avoir pour me faire jouir ; cravate de notaire, cavalcade d’amazone sur mon engin ou toute autre position qu’elles connaissaient pour amener un homme au plaisir. La note éliminatoire était quand je ...