Les mille et une chattes de Mr Saint VIT, le "testeur" de Mme CLAUDE. (1)
Datte: 11/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
Le « testeur » de Madame CLAUDE et ses mille et une chattes. 1
Je m’appelle Claude XXX, je dirige une société de mode spécialisée dans les sous-vêtements féminins.
Quoi de bien extraordinaire me direz-vous ? Et bien oui et non !
J’ai beaucoup de collaboratrices qui organisent des réunions type Tupperware pour mes clientes, (futures ou habituées). Je tourne en France et même en Europe pour les soutenir et je dois dire que je suis toujours bien reçu partout où je vais. Ce qui commence à sortir de l’ordinaire d’un patron, c’est que je ne couche jamais seul dans un hôtel ou ailleurs lors de ces tournées promotionnelles. Chaque soir dans un nouveau lit, chaque soir avec une ou des femmes différentes. Je ne pourrais pas dire avec combien de femmes j’ai couché, il y a bien longtemps que je ne compte plus…
Mais comment, me direz-vous, suis-je arrivé à un tel résultat ? Pour cela, il faudrait que je remonte au jour de ma naissance…
Je suis le fils d’une prostituée morte en couche, j’ai été élevé dès mon premier jour par une pléthore de femmes toutes plus belles les unes que les autres. Dans ce temps là, les filles qui se faisaient mettre en cloque pouvaient élever leur marmaille dans une villa que toutes dans la profession connaissaient. Etant orphelin de fait dès ma naissance car ne pouvant savoir qui était mon géniteur, j’ai dès mes premier jours tété et tripoté toutes sortes de mamelles accueillantes. De beaux seins bien lourds ou d’autres plus fermes, de toutes ...
... les carnations, de la blancheur d’albâtre au plus noir. Jai goûté à de petits tétons à peine visibles ou à d’autres érigés fièrement dans des aréoles de tous les diamètres.
Dès mes premières années, je gambadais dans des couloirs fréquentés par des filles à peine vêtues. Elles se battaient presque pour me faire prendre un bain que je prenais d’ailleurs rarement seul car elles adoraient toutes m’y accompagner pour frotter ma peau sous toutes ses coutures. Quelques années plus tard, je faisais déjà du porte-à-porte pour amener aux filles des linges et autres ustensiles pour leur toilette intime entre deux clients. J’étais habitué de voir ces femmes nues sans aucune pudeur devant moi tellement je faisais partie des meubles.
Un jour, elles se sont rendu compte du changement hormonal qui transformait mon corps. Je laisse à votre entière responsabilité et à vos fantasmes les plus pervers ce qui a bien pu en résulter. Mais disons que j’ai été beaucoup plus précoce que les jeunes hommes de cette époque.
L’une de ces femmes s’appelait Fernande G…, plus connue quelques années plus tard sous le nom de Madame CLAUDE. Dans l’une de ses « maisons » qu’elle ouvrit dans les années soixante, je faisais office de videur pour virer manu militari les hommes qui ne respectaient pas les « collaboratrices » car chez Madame CLAUDE, il n’y avait rien de vulgaire et pour pas mal de filles maltraitées par la vie ou même pour des filles de bourgeois, elles étaient très bien traitées, sorti du ...