Le cousin Coco - Histoires de Sexe

Le cousin Coco

... notre table.

Nous nous installons. Jessica et ses danseuses animent la soirée en jetant les soutifs. Une pensée me rend soucieuse, je m’en ouvre :

— Suzy, Roger, je veux simplement regarder, cela vous dérange-t-il ?
— Vous serez de bonne compagnie pour mon mari.
— Roger, je vous sucerai, si cela vous fait plaisir…
— Ces dames sont exquises, s’extasie le Roger en secouant le bras de Loïc.

Une ambiance de dingue sur ledanse floor. Les danseuses miment une masturbation sur la barre de pôle. Un solo de batterie calme à peine l’ambiance. Jessica fait semblant de me choisir. Nous voilà sur la mini scène à répéter le scénario d’hier soir, Jessica :

— T’as un soutif ?
— Non.
— T’as une culotte ?
— Non.
— Tant pis pour toi…
— Tant pis pour vous aussi. Si je n’ai qu’une robe, vous n’avez qu’une culotte…

Applaudissements. Le DJ met de la musique érotico émotionnelle.

Jessica me plaque contre une barre, roule contre moi, exagérant un jeu de séduction. Il faut que je me mette dans son rythme en vitesse. Je vais être la fille naïve, réceptive à ses avances.

Ça marche. La mayonnaise prend entre nous deux, prend avec le public.

Notre jeu sensuel chauffe tout le monde. Je suis adossée à la barre, face au public, Jessica derrière moi fait glisser les bretelles de ma robe, au moment où elle tombe je tourne pour venir derrière Jessica lui défaire les nœuds de sa culotte qui tombe aussi. Elle m’enlace pour me galocher seins contre seins privant ainsi le public de ...

... notre nudité. Pour ne pas le frustrer, main dans la main, nous faisons face pour les saluer.

Jessica m’entraîne dans un tour de salle. C’est étourdissant d’être fêtée.

**********

Derrière la scène, Loïc tout frétillant me rejoint :

— Tu es super douée pour lepole ! Chapeau !
— C’est osé de faire ça, non ?
— Dans un cabaret libertin, c’est logique.
— Imagine que mes parents soient là…
— Tes parents, ici ! Laisse-moi rire !

Il n’a pas tort. Je le branche sur la suite :

— Suzy te plaît ?
— Oui. Une très belle femme. Caroline, nous avons pris la liberté de prendre une alcôve. Suzy est très persuasive.
— Tu sais quoi ? Je m’en doutais. J’aurais jamais cru sucer un vieux !

Jessica me dit de la retrouver à 1 h dans sa loge.

Nous rejoignons le couple de « vieux » de fin de trentaine dans l’alcôve. Suzy est tout enflammée :

— Caro, vous avez fait ça toute votre vie. Vous m’avez mise dans un état… Et le Roger, j’vous dis pas, hein, mon chéri ?

Le chéri lève son verre à je ne sais quoi. Nous décidons de ne pas tirer les rideaux. C’est logique. Nous nous mettons à l’aise, à poil quoi. Suzy vient me rouler une pelle :

— Je te le rendrai un peu fatigué, mais en bon état.
— T’es sympa, lui dis-je en rigolant.

Loïc, raide de chez raide, pousse Suzy pour un cunni, mais elle impose un 69. Ça commence fort. Le cousin a trouvé sa voie.

Roger et moi, côte à côte sur le sofa, les regardions s’activer. Lui aussi bande. Je lui prends la queue, mon dieu, ...