Le cousin Coco - Histoires de Sexe

Le cousin Coco

... cochons…

Nous éclatons de rire…

— Je te suce ?
— Ne te sent pas obligé, le matin, ça bande, ça débande…
— Pendant que j’ai un garçon sous la main, autant en profiter.
— On fait une sieste après le repas.
— Ça me va. Je ne sais pas si je peux recommencer avec Jessica comme j’ai fait hier soir.
— Quand tu seras dans l’ambiance, tu fonceras.

Au lieu d’aller à la messe, nous piquons une tête dans la piscine en guise d’apéritif.

C’est agréable de nager nue. Le repas est bon. Les gens sont élégants et courtois. Des couples me font un coucou discret. Je crois en reconnaître un, celui qui était devant la vitrine de l’orgie, la fille qui voulait faire comme moi. Les autres devaient être au cabaret. C’est trop mignon.

**********

La chaleur anormale de ce début juin nous prédispose pour une sieste. Allongés presque à poil, j’ai gardé mon string et lui le boxer, sur le lit, Loïc me demande :

— Tu ne trouves pas anormal que Jessica fasse prolonger notre séjour gratos rien que pour danser avec toi ?
— Euh… Ça a plu aux clients donc c’est commercial. Un échange de bons procédés.
— Ouais, pourquoi pas.
— Pour moi, c’est un défi, suis-je capable de recommencer ?

Sa main traîne sur mon ventre, je la secoue :

— Ou alors, elle veut baiser avec toi ce soir, et toc, mon cher cousin !
— Ça me fait bander…
— Quoi ? Moi ou Jessica ?
— Vous deux.

Il n’est pas faux-cul, c’est déjà ça. Sa main se glisse sous mon string. Un long silence… Ça me gonfle, si long ...

... :

— Tu penses à quoi ?
— À la copine de ma mère. Elle a remarqué que je matais sous ses jupes, elle croisait les jambes pour me montrer qu’elle portait des bas ou les écartait pour montrer l’absence de culotte, et moi j’allais me branler dans ma chambre avec ces visions. C’est con, hein.
— La coquine… Elle savait ce que tu faisais et en tirait satisfaction aussi.

Il pousse un grand soupir pendant que sa main joue avec mes quatre poils pubiens.

— Cousine, comment as-tu pu faire un ticket de métro si fin ?
— C’est du boulot…

La voilà qui glisse sur ma fente, dedans. Je me crispe d’émoi. Son doigt me fend la fente jusqu’au petit trou qu’il en fait le tour d’une phalange, c’est très sensible ici. Le cousin est d’une douceur… Il revient agacer le clito, me pince le téton. Il me lèche le ventre, suce un téton. Je suis complètement partie. Je suis son jouet. Mon string vole, je ne sais comment. Il me soulève pour un cunni ravageur. Je jouis intense sur sa bouche puis il me galoche tout en virant son boxer, je me précipite sur sa queue que je suce tout en finissant mon orgasme. J’avale sa jouissance sans culpabilité. Nous prenons une douche rapide pour évacuer la sueur de l’effort. Nous restons à poil. Qui sur le lit, qui sur le fauteuil.

— Caroline, regrettes-tu d’être venue ?
— Non. Je crois qu’un changement s’opère en moi. Tu sais, comme une évolution d’esprit. Physiquement, je ne change pas, il me semble que je me sens plus femme que gamine.
— Tu as mis le doigt ...