stock car de Paris Bercy, suite - Histoires de Sexe

stock car de Paris Bercy, suite

... salon, me propose un café et nous voilà installés, moi en face d’elle, elle croise les jambes, qu’est-ce qu’elle est excitante cette femme !

- Bon, nous n’avons pas beaucoup parlé l’autre jour. Tu es un petit vicieux avec une belle petite gueule d’ange. Ça tombe bien, j’aime les petits vicieux dans ton genre, je t’avais repéré tout de suite ce dimanche à Bercy. Je te voyais regarder les femmes présentes, détailler leur corps, tes yeux se posaient sur leurs fesses, leurs jambes, je me suis dit, celui-ci, il aime les femmes mûres, allons-y ! Je le mettrai bien dans mon lit ! J’ai donc décidé de t’allumer, et ça a bien marché ! Tu vois j’ai remis la même culotte que celle que tu as remplis l’autre jour.

Et elle écarte les pans de sa jupe, ses cuisses et m’offre une magnifique vision.

- Je suis sûre qu’elle te fait envie ma chatte !

- Oui !

- Tu la mangeras plus tard petit vicieux. En attendant, tu peux la regarder ! Bon, je vais t’expliquer certaines choses. Mon mari sait que tu es ici, je le lui ai dit. Nous sommes riches, comme tu peux voir, notre entreprise marche très bien. Mais il travaille beaucoup, on n’a rien sans rien, il a 15 ans de plus que moi et il y a quelques années, il a fait une attaque, depuis, il est quelque peu diminué. En un mot, il ne bande plus. Or, j’ai des besoins sexuels, pas forcément énormes, mais j’aime le sexe. Nous fréquentions des cercles libertins avant son attaque, j’appréciais certaines pratiques. J’ai d’abord essayé de me ...

... satisfaire toute seule, mais ça ne me suffit pas, donc nous en avons parlé avec lui et il m’a dit de prendre des amants si vraiment je ne pouvais pas me passer de sexe. Voilà pourquoi tu es là, de temps en temps, je m’offre un homme qui me plaît ! Maintenant, une chose, tu es à mon service, au service de mon plaisir, tu es là pour me faire jouir avant tout, c’est bien compris ? J’aime dominer les hommes quand je baise, ça me procure un grand plaisir. Si ça ne te plaît pas, tu peux partir. Mais je crois qu’après ce qu’il s’est passé à Bercy l’autre jour, ça ne te déplaît pas ?

- Heu non, je veux bien.

- Si je te suce, ce n’est pas pour que tu éjacules, c’est parce que j’aime bien sucer des queues et dans mon souvenir, la tienne était jolie. D’accord ?

- Oui.

- Tu peux dire madame, j’aime bien ce contraste.

- Oui madame.

- Donc aujourd’hui, tu vas me donner du plaisir et si ça se passe bien, tu pourras vider ta queue sur moi, voire en moi si tu me donnes entière satisfaction. Et peut-être avoir une surprise ! Pour commencer, tu te mets à poil !

Je dois reconnaître qu’elle me fascinait, son ton, son autorité naturelle et puis elle était terriblement bandante, même si je n’avais vu d’elle que ses jambes et son sexe. Je me déshabille.

- Tu bandes déjà petit vicieux, j’aime ça ! Viens que je te touche la bite, l’autre jour je ne l’ai pas fait. (Je m’approche) Hummm, je l’aime bien ta bite, j’aime son champignon, elle a la peau douce. Attention, pas question de me ...