stock car de Paris Bercy, suite
Datte: 11/02/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Plaisirdecouple3, Source: Hds
Stock car de Paris Bercy suite
Après cette chaude rencontre au palais omnisport de Bercy, je reçus donc des nouvelles de la femme à qui j’avais léché le sexe sans la connaître ou presque. Je ne pensais plus entendre parler d’elle, car elle m’appela plusieurs semaines après ce moment torride. N’étant pas sûre de me trouver, elle appela le soir et c’est ma mère qui décrocha. Lorsque cette dernière me dit qu’une dame demandait à me parler, j’étais réellement surpris, mais je reconnus la voix de suite.
- Bonsoir, c’est Diane, la dame de Bercy.
- Oui, j’avais reconnu.
- C’était ta mère ?
- Oui.
- Il lèche la chatte des dames inconnues et vit encore chez papa-maman ! Excitant tout ça ! Tu es libre demain ?
- Heu, j’ai des cours le matin.
- Dommage, tant pis alors.
- Mais si vous voulez vraiment que je …
- Oui, je veux, alors ?
- D’accord.
- Tu connais St Maur ?
- Heu, non, mais je vois où c’est.
- 9 heures à la gare du RER. A demain.
Et elle raccroche ! Je ne sais même pas combien de temps il faut pour aller là-bas de St Lazare. Et ma mère qui demande :
- C’est qui cette dame ?
- Ben, heu, c’est la mère de Christophe, mon pote de Paris qui me dit que j’ai oublié une chemise chez lui lorsque je suis allé dormir là bas.
- Ah bon, je ne l’ai pas trouvée très aimable.
Ouf, pas sûr que ma mère ait avalé mon explication, en plus, la mère de mon copain était adorable !
Le lendemain, j’arrive à 8 heures à St Lazare, je regarde ...
... le plan de métro et je constate que St Maur est juste après Vincennes, pas trop long et effectivement j’y suis 20 minutes avant l’heure prévue, je patiente tout étant très excité, je bande déjà. Cette femme m’excite au plus haut point ! A 9 heures, je la vois juste à l’entrée de la gare, elle n’entre pas mais me fait signe de la suivre, elle ne m’attend pas et se dirige vers un parking. Elle monte dans une Mini et la porte passager s’ouvre :
- Monte !
Me voilà installé, je boucle ma ceinture.
- On va chez moi
On roule quelques minutes, je la regarde, toujours aussi bandante, elle porte une jupe portefeuille qui s’est largement ouverte pendant qu’elle conduisait, des bottes.
- Tu veux voir mes jambes, hein petit cochon ?
- Heu si vous voulez, oui.
Et elle relève les pans de sa jupe complètement, elle porte des bas comme l’autre jour.
- Caresse-moi les jambes !
Je pose timidement ma main sur sa cuisse.
- Vas-y franchement, tu peux même caresser ma chatte ! Mais tu ne passes pas ta main sous ma culotte, compris ?
Je m’exécute, je passe ma main sur sa culotte en dentelle noire.
- Humm, continue comme ça, j’aime, ça me fait mouiller.
Ça commence fort, je bande déjà comme un fou, son ton directif, le vocabulaire sans fioriture, j’aime ça ! Mais le trajet est assez court, on arrive dans une rue avec de très belles maisons, un portail s’ouvre et nous voilà dans une très belle propriété.
- Voilà, allez viens.
On entre, elle m’emmène dans un ...