1. Une histoire bien banale.


    Datte: 10/02/2022, Catégories: f, fh, frousses, candaul, Collègues / Travail grossexe, hotel, cérébral, pénétratio, Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe

    ... Puis elle se tourne vers nous avec un air gêné.
    
    — Je suis désolée, Monsieur. Je viens de vérifier. Il n’y a qu’une chambre réservée au nom de votre société.
    — Comment ça ? C’est une plaisanterie ! lâche Richard d’un ton glacial.
    
    La fille fait une courte manipulation sur son terminal avant de confirmer.
    
    — Bon, peu importe, on ne va pas passer la soirée là-dessus, déclare mon chef. Nous allons prendre une seconde chambre au tarif du jour. Je m’arrangerai avec votre direction ultérieurement.
    
    La mimique de la jeune femme n’augure rien de bon.
    
    — Malheureusement, à cause de la foire commerciale, tout l’hôtel est réservé depuis plusieurs semaines et j’ai peur que vous ayez du mal à trouver des chambres disponibles dans les environs.
    
    Je dois me retenir pour ne pas engueuler la fille. Mais je suis sûre qu’elle n’y est pour rien et que c’est ce fumier de Laroque qui a tout combiné en faisant exprès de ne retenir qu’une seule chambre. Voyant que je suis à deux doigts de faire un scandale, la réceptionniste propose de demander à son responsable s’il est possible d’ajouter un lit d’appoint dans la chambre.
    
    — C’est une excellente idée, mademoiselle, déclare mielleusement Richard en esquissant un sourire en coin.
    
    Je me demande ce qui me retient de lui balancer un coup d’escarpin dans les parties.
    
    — Christine, je te laisse profiter de la chambre la première, déclare-t-il avec un air de faux-cul qui me hérisse. J’attendrai au bar que tu aies fini de te ...
    ... préparer.
    
    J’arrache quasiment la clef des mains de mon chef et attrape ma valise avant de me diriger d’un pas rageur vers l’ascenseur.
    
    Quinze minutes plus tard, je me calme peu à peu en profitant du jet d’eau chaude bienfaisant de la douche. Une douce chaleur est en train de gagner l’intérieur de mes cuisses. J’ai l’impression que l’énervement dû à cette promiscuité fâcheuse avec Richard évolue doucement vers une délicieuse tension sexuelle. Je ferme alors les yeux pour me concentrer sur les caresses que mes longs doigts fins me prodiguent lentement.
    
    Ma respiration se cale sur le rythme des ondes délicieuses qui embrasent mon bas-ventre, jusqu’à ce que mes muscles se tendent alors que je succombe au plaisir en poussant une plainte rauque et lascive.
    
    Afin de me rendre au cocktail organisé par le principal revendeur de nos produits sur la région, j’enfile une robe portefeuille noire suffisamment courte pour découvrir mon genou. Son décolleté tentateur offre une vue imprenable sur le galbe de mes seins opulents. Comme à mon habitude, j’ai opté pour un luxueux ensemble de lingerie, désireuse d’offrir à mes rondeurs arrogantes un écrin apte à les sublimer.
    
    Je sais bien qu’il ne s’agit là que d’orgueil mal placé, car je n’ai, bien sûr, nullement l’intention de faire profiter à qui que ce soit de ces gourmands atours.
    
    Et c’est pour la même futile raison que je choisis de mettre joliment en valeur la courbe de mes mollets en les prolongeant par des escarpins vernis noirs à ...
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