1. Mon docteur chéri (1)


    Datte: 10/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: le debauché, Source: Xstory

    ... fonctionne bien.
    
    Il laisse une main en contact avec mes cuisses puis il remonte jusqu’à mon ventre qu’il palpe à nouveau. Soudain, je sens le contact de sa blouse sur ma main. Sans réfléchir, je bouge les doigts. Ils sont à hauteur de son sexe. Je ne peux pas me retenir. Je cherche un passage. Merde, il est à poil sous sa blouse. Pourquoi ne l’ai-je pas vu avant ? Quand a-t-il retiré son pantalon ? De toute façon, je m’en fous. C’est bien qu’il soit comme ça. Je prends de l’assurance. Je glisse les doigts sous ses bourses. Elles sont lourdes. J’ai envie qu’il retire sa blouse. Qu’il me montre sa bite ! Je m’embrase et de mes doigts fébriles, j’arrive à déboutonner le bouton du bas. Sa queue jaillit. Et là, je sais. Ça n’est pas Richard ! Celle-là est trop grosse, trop épaisse... trop belle ! Je vais tromper mon chéri. C’est mal. Immoral. Mais j’ai perdu pied depuis trop longtemps pour parvenir à me ressaisir maintenant. D’ailleurs, je n’en ai pas envie. Je veux subir tout ce qui m’attend.
    
    Le « docteur » me saisit les mamelles. Oh oui, vas-y pelote-moi bien. J’adore ça et c’est la meilleure façon de bien me chauffer. Le sait-il ? Il me malmène les tétons...
    
    Délicieux ! Allez, approche encore un peu. Il a dû m’entendre, car il est maintenant à ma portée. Je tourne la tête et sans préambule, je gobe son gland. Il est chaud, humide... savoureux... un peu gros peut-être pour ma petite bouche. Je n’ai pas l’habitude, mais je vais m’y faire. Je fais des mouvements de ...
    ... succion et je sens son plaisir dans les spasmes de sa queue. Je lèche le gland puis je descends la langue le long du frein...
    
    Jusqu’aux couilles que je lèche et que j’essaie de prendre dans la bouche : trop grosses. Je les embrasse... puis je remonte très lentement pour, d’un seul coup, enfoncer toute sa bite. Je manque de m’étouffer. Mais ça ne fait rien. Je veux lui faire une gorge profonde... puis deux... puis trois...
    
    Il soupire, il râle...
    
    Ah, tu m’as bien excitée mon cochon. Maintenant, c’est à toi de de subir. Soudain, je me mets à pomper. Presque frénétiquement. J’ai une furieuse envie de lui vider les couilles... pour lui apprendre à m’avoir trait... à m’avoir obligée à me branler devant lui... je vais te faire cracher mon salaud ! Mais il se retire. Non ! J’aperçois la blouse tomber. Il glisse jusqu’au bout de la table. Je le vois déchirer un emballage de capote du bout des dents. Il se la met, m’attrape les chevilles et me tire, puis il me croise les jambes et d’un mouvement de rotation, me retourne sur le ventre.
    
    — Et maintenant, je dois voir si c’est bon de vous baiser madame Imbert.
    
    Sa phrase à peine achevée, il me pénètre d’un grand coup de reins. J’ai du mal à sentir la chaleur de sa bite à cause de la capote. Mais tout le reste, je le sens bien. Il entre... me pilonne... ressort... plus vite... plus vite... jusqu’à me rendre folle, et je pète les plombs ! Je deviens grossière. Je lui dis que sa bite est bonne... qu’il me baise bien. Et c’est vrai ! ...
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