Mon docteur chéri (1)
Datte: 10/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: le debauché, Source: Xstory
... semble un peu étroit.
— C’est grave ?
— Non, ne vous en faites pas.
Zut il a abandonné le tutoiement. Il poursuit :
— Je vais regarder si je peux l’assouplir.
— Heu... C’est nécessaire ?
— Oui, c’est nécessaire, vos sensations seront décuplées.
Soudain, il me claque les fesses.
— Penche-toi en avant, je veux voir la forme de ton abricot.
De mon quoi ? Je n’ai pas le temps de réfléchir. Je reçois une nouvelle claque.
— Obéis !
L’ordre claque comme une caresse. Je me courbe en avant.
— Bon, il est parfait. Vous pouvez vous redresser.
Il inscrit quelque chose sur son bloc et moi j’attends les bras le long du corps et je sursaute lorsqu’il me demande :
— Tu mouilles ?
Bien sûr que je suis tout mouillée après ce que tu viens de me faire subir mon cochon. Je tarde trop à lui répondre.
— Alors ?
— Heu... Oui, je crois.
— Approche.
Je fais trois pas et il passe la main sur ma chatte.
— Tu es trop mouillée. Tiens essuie-toi.
Il me tend un rouleau de papier absorbant. Je m’éponge... et je remouille aussitôt.
— Heu... Docteur, je crois que...
— Vous remouillez ?
Je rougis comme une pivoine.
— Heu... Oui.
— Bon. Approche.
Je fais encore deux pas.
— Pose une jambe sur la chaise et masturbe-toi. L’orgasme va permettre d’évacuer la tension et en plus ça me permettra d’en apprécier la qualité.
Je bafouille :
— Heu... Là, devant vous ?
— Oui, là, devant moi.
Le ton est toujours autoritaire. ...
... J’abdique et je pose un pied sur la chaise. Il rectifie ma position.
— Ouvre-toi bien.
Je pose les doigts sur ma chatte. Elle est en feu. Je sens mon clitoris rouler sous mes doigts. Je ferme les yeux.
— Non regarde-moi. Je veux pouvoir mesurer l’évolution de ton plaisir sur ton visage.
C’est dur de garder les yeux ouverts. Mes doigts s’activent. Mon clito s’enflamme. Ma respiration s’accélère. Je soupire, je grogne... je me mords la lèvre pour ne pas crier. Puis je crie. Fort ! Lorsque j’explose.
— Parfait. Essuie-toi et allonge-toi sur la table les pieds dans les étriers.
J’obéis. Il enfile des gants. Je sens ses doigts se poser directement sur mon clitoris. Il le presse... l’étire... le presse à nouveau. La sensation est étrange. Puis soudain, je sens comme une petite brûlure, très brève.
— Bon, c’est parfait. Tu devrais avoir davantage de sensations à présent.
J’ose lui répondre :
— J’en avais déjà pas mal docteur.
— Alors ça sera un bonus.
Il se retourne et prend un spéculum qu’il introduit... puis écarte.
— Bon, vous avez un utérus de jeune fille.
Il retire l’appareil puis il introduit les doigts.
— Vous êtes très étroite. Rappelez-moi la fréquence de vos rapports.
— Heu... Environ une dizaine par mois.
— D’accord.
Soudain, je sursaute.
— Reste tranquille. Je cherche juste à stimuler ton point G.
Je sens que la machine repart. La chaleur... les frissons. Heureusement, il n’insiste pas.
— Bon, c’est parfait, tout ...