Chienne un jour, chienne toujours (4)
Datte: 10/02/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... appliquée par Amélie.
— Ta sœur est d’une beauté sans égale en petite chienne. Je la verrais bien en dalmatienne.
— Je te fais confiance, tu as bien plus d’expérience que moi.
— Pour toi, comme tu es, dans cette peau d’institutrice vicieuse, je te vois la même chose, mais toute vêtue de latex ou de lycra, avec cette petite pointe de dominatrice qui te caractérise, cela devrait faire sensation. Mouii, j’ai tout ce qu’il te faut. Viens, on y va ? J’ai hâte de faire de toi une belle Maîtresse, une sévère, vicieuse, dominatrice, les yeux masqués par un masque félin genre panthère noire. Je te veux en Catwoman agressive, prête à sortir ses griffes, à repousser brutalement les importuns, les ravaler au rang de larve rampante. Ouiiiiiii, je vais faire de toi celle que tous voudraient baiser en se jetant à tes pieds, la peur au ventre. Gilberte m’a raconté pour cette femme. Si tu avais été habillée par mes soins, tu l’aurais aussi piétinée avec mépris tel un mégot de cigarette.
— Continue, je sens déjà...
— Ne sens rien, laisse-toi guider par tes envies, libère-toi davantage. Avec ma sœur, nous avons dépassé tous les interdits, les tabous. Chaque jour est un jour béni quand on se retrouve pour baiser comme des salopes. Alors, laisse ton corps s’abandonner qu’à un seul dieu, le plaisir.
— Je vais tout faire pour, sois-en certaine.
En bas, vêtue en prof austère, c’est à pleine bouche que je prends congé de Gilberte et Roxanne. Avant de sortir, je fixe sa ...
... courte laisse à ma Fifille, c’est à l’anneau de son sexe que je la laisse pendre. Dans les rues que nous empruntons, ma chère sœur marche devant, la laisse, maintenant dans ma main, entre ses cuisses. Chaque pas relève la cape, dévoilant son corps magnifique, ses jambes sublimes et aussi un peu de ses jolies petites fesses. Amélie la guide d’ordres sèchement donnés, mais, sans ne jamais crier ou hurler. Ça me plaît, car ma frangine se révèle être une soumise exceptionnelle, de premier ordre. Devant la boutique d’Amélie et les passants, Martine se met à genoux sur la première marche, les mains sur la tête. La vache, elle m’impressionne la frangine. Elle me fait mouiller mon cul... flûte de flûte, je l’ai oubliée dans le salon de Gilberte.
La porte ouverte, elle y pénètre à quatre pattes. Une nouvelle remarque méprisante me fait bondir. Je me retourne sèchement, découvre une femme qui, d’un air mauvais, vient de nous insulter de manière abjecte en nous pointant d’un doigt inquisiteur. Je m’avance vers elle d’un pas décidé. Amélie prend peur, elle craint que je n’explose cette femme à coups de poing ou de pied. Je ne cache pas que la tentation est grande de lui mettre mon poing sur son groin de gerce. Cependant, mon index accusateur sous le menton de cette garce de mégère, je me sens soudainement encore plus libérée qu’avec ce couple, la veille. Aussi, tenant encore son menton, l’autre main sur ma hanche, je me sens calme, posée avant de lui cracher mon venin acide sur un ton ...