La bourgeoise et le marabout (58)
Datte: 09/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... de l’escalier de service. Pourvu que je ne croise personne. Dans cette tenue, quelqu’un derrière moi verra tout de suite que j’ai le cul et la chatte à l’air. Malgré mes talons hauts, je monte rapidement les escaliers. Me voilà devant la porte de la chambre 9, je frappe et l’on me dit d’entrer. Un homme d’une quarantaine d’années est allongé sur son lit. Il prend son téléphone et j’imagine qu’il appelle François et le met en liaison. Puis, d’un accent marqué, l’homme me dit.
— Approche-toi ma belle, j’ai envie d’une bonne pipe !
Je m’approche, me mets à genoux près du lit et commence à branler la queue que l’on me présente. Bien vite, je la prends en bouche et commence ma fellation. Je m’applique et en moins de cinq minutes, l’homme appuie fortement sur ma nuque et jouit longuement dans ma bouche. J’avale son foutre et récupère les dernières gouttes.
Je me lève et, sans avoir rien dit depuis que je suis entrée, je sors de la chambre.
Aux chambres 15 et 22, le rituel est le même. A chaque fois, l’homme est nu sur son lit et est en train de regarder un film X en se branlant. J’entre et il m’invite à prendre place sur le lit près de lui. Il me dévore la bouche, ouvre mon chemisier et me caresse les seins puis vient sur moi. Le gland se fraye un chemin par la fente du string et se frotte à ma fente. Bien vite, je mouille, ma chatte s’ouvre et la bite prend possession des lieux. On me besogne sans ménagement, il faut dire que je ne suis pas là pour faire des ...
... politesses. Je me laisse aller et profite de l’instant. Chambre 15, l’homme a une queue longue et fine qui coulisse facilement dans ma chatte et vient cogner tout au fond de ma grotte. A chaque coup de boutoir, c’est l’extase. Chambre 22, là c’est une grosse queue épaisse et courte. Je suis écartelée par ce large gourdin et il me faut bien dix minutes avant que ma chatte soit au bond diamètre.
Dans les deux cas, on m’arrose longuement en me traitant de petite salope, de bourgeoise délurée et de catin. Oui, je crois que c’est vrai !
Quand je sors de la chambre 22, le gagnant suivant est à la 23, juste à côté. Je frappe et c’est une voix grave qui me répond.
— Entrez !
Un black baraqué est assis sur son lit et semble m’attendre depuis un bon moment. Je m’approche, il se lève, m’enlace et me caresse le dos et les fesses tout en m’embrassant à pleine bouche. Puis, il me fait pivoter sur place, me force à me mettre à genoux à côté du lit. J’ai le buste penché en avant, le ventre calé contre le matelas. Monsieur 22 se positionne derrière moi, déboutonne mon chemiser et libère mes seins qu’il prend dans ses deux grosses mains. Son énorme gland est déjà entre mes jambes que j’écarte le plus possible. Je remarque alors que le téléphone est placé juste devant nous, François ne peut donc pas louper l’expression de salope excitée qui se lit sur mon visage. Le bâton d’ébène se glisse en moi et j’ai l’impression de suffoquer tellement j’en ai le souffle coupé. Quelle queue !
Tout en ...