La bourgeoise et le marabout (58)
Datte: 09/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Le confinement se poursuit un peu plus longtemps chaque jour et chaque nouvelle journée est une occasion de plus pour François de me prendre comme il le souhaite. Il faut dire que notre sortie chez Maurice puis la séance chez nous avec Mathieu et mes deux amies lui ont redonné de la vitalité. Aussi surprenant que cela paraisse, il adore jouer les voyeurs lorsqu’il décide de m’offrir à d’autres hommes, mais cela ne l’empêche pas de bien me besogner lorsque nous sommes seuls. Bien sûr, les étreintes sont plutôt fugaces et les saillies de courte durée ; me laissant souvent comme un petit arrière-goût de « j’en veux encore ! ».
Il a donc pris l’habitude de réclamer sa dose de sexe chaque jour. Cela peut être une saillie rapide au réveil, une envie de fellation après le petit-déjeuner, un bref enculage lorsque je fais la vaisselle, une baise en levrette à l’heure du goûter, une branle sur mes seins à l’heure du point de situation télévisé du directeur général de la santé ou la position du missionnaire avant de s’endormir.
En ce jeudi après-midi, après m’avoir troussée et enfilée à l’issue de notre café et après avoir répondu par télétravail aux différentes sollicitations de son ministère, il me dit qu’il s’absente quelques minutes et que je ne dois pas m’inquiéter. Il disparaît donc par la porte de la cuisine tandis que je me mets à lire le dernier numéro de « Femme actuelle ».
Il revient au bout d’un petit quart d’heure tout guilleret et, sans un mot, se réinstalle à ...
... son bureau. Il s’est remis devant son ordinateur et semble plongé dans son travail, car je vois du coin de l’œil qu’il consulte les sites des musées nationaux parisiens avec lesquels il travaille régulièrement. L’après-midi s’écoule paisiblement et, alors que je me mets à préparer le dîner, je le vois s’enfermer dans notre chambre, ce qui n’est pas dans ses habitudes.
Nous en sommes au dessert lorsqu’il me dit.
— Chérie, sais-tu que ce soir, c’est le tirage du loto ?
Je suis surprise et le regarde avec de grands yeux.
— Je ne sais pas, nous ne jouons jamais au loto !
Il me répond.
— Va dans la chambre, tu verras sur le lit que te t’ai préparé ta tenue pour la soirée. Dès que tu es prête, rejoins-moi dans le salon. Pendant que tu te changes, je range rapidement la cuisine.
Je suis un peu surprise, mais le connaissant, je me dis qu’il a dû encore inventer quelque chose de spécial pour pimenter notre soirée.
Je vais donc dans notre chambre et je comprends vite que la soirée va être chaude. Je me mets entièrement nue et j’enfile ce qu’il m’a préparé. Les dessous se réduisent à leur plus simple expression, un petit string bien fendu devant et derrière et des bas noirs autofixants à large jarretière. Par-dessus, c’est un très léger chemisier blanc qui ne dissimule pas grand-chose de mes seins et une minijupe en cuir qui souligne ostensiblement le galbe de mes fesses. Je m’installe ensuite devant ma coiffeuse pour mettre la perruque blonde platinée que François ...