1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (6)


    Datte: 09/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... les lèvres pour ne pas crier mon plaisir.
    
    Excitée par ce premier orgasme, je tente ensuite de m’introduire l’objet dans la croupe mais il est vraiment trop gros. J’arrive néanmoins à glisser l’énorme gland dans mon œillet et les vibrations suffisent à déclencher une nouvelle onde de plaisir. Mais je dois avouer que cela n’a nullement apaisé mes envies, bien au contraire, et je m’endors en me demandant quel prétexte trouver pour retourner à la cité du Maroc.
    
    Le lendemain matin, je décide de mettre le porte-jarretelles et les bas achetés la veille. Une fois au bureau, je me dis que si je me suis habillée ainsi, ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter. Cependant j’hésite ! Mais mon envie est finalement plus forte que ma raison ; je prends mon téléphone portable et j’envoie un sms à Mohamed « Suis de passage à Stains en fin d’après-midi. Disponible pour te voir si tu le souhaites ».
    
    Ce n’est qu’en début d’après-midi que j’ai sa réponse « 17h30 sur le parking du bâtiment C ». Comme je m’y attendais, ce n’est pas un long message exprimant son envie de me revoir après une si longue absence.
    
    Durant tout l’après-midi, j’ai un peu de mal à me concentrer sur mon travail. Jusqu’à présent, c’est toujours Mohamed qui a profité de mes passages à la cité du Maroc pour m’entreprendre et arriver à ses fins. J’étais en quelque sorte la victime, certes un peu consentante. Mais là, c’est moi qui prends les devants, qui m’offre quasiment à lui en lui disant pratiquement « ...
    ... Je suis en manque ! Baise moi comme tu veux ! ».
    
    Bien évidemment, je n’ai aucune raison professionnelle de me rendre à Stains, ni à la cité du Maroc ni dans un autre endroit. J’ai envie d’être baisée, là est la simple vérité.
    
    Il est tout juste 17h30 lorsque j’arrive à la cité du Maroc. Mohamed est à l’entrée du parking et il me fait signe de stopper à sa hauteur. Je m’exécute et il s’installe sur le siège passager. Il me dit
    
    — Il fait beau, on va en profiter !
    
    Il me donne quelques indications et nous voici en route à travers la ville de Stains. Moins de dix minutes plus tard, nous arrivons à proximité d’une grande zone verte et je lis sur un panneau « Parc Départemental de La Courneuve Georges Valbon. »
    
    Mohamed me guide à travers un dédale de petites routes et nous atteignons enfin un petit parking retiré où il n’y a que trois ou quatre voitures. Une fois la voiture garée, il me dit
    
    — On va marcher un peu pour se trouver un coin tranquille !
    
    Nous sortons de la voiture puis il m’entraîne derrière lui en suivant un tout petit sentier qui chemine à travers une zone arborée. Au bout, nous atteignons une bâtisse abandonnée dont toutes les ouvertures sont condamnées par des planches de bois et quelques panneaux indiquent « Zone privée. Défense d’entrer ». Mohamed s’avance vers l’une des portes barricadées et pousse le vantail de bois qui s’entrouvre en grinçant. Il me dit
    
    — Suis moi, c’est par ici !
    
    L’intérieur de la bâtisse est éclairé par les rayons du ...
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