1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (6)


    Datte: 09/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... me retourne et découvre l’homme qui se tenait auparavant à la caisse ; il doit avoir la cinquantaine, plutôt gros voire bedonnant, légèrement dégarni sur le haut du crâne et un regard vicieux. Il me dit
    
    — Bonjour madame, vous hésitez sur le modèle qui vous intéresse ?
    
    Un peu stressée je ne peux que bredouiller
    
    — Euh, oui c’est ça ! J’hésite !
    
    Très professionnel il poursuit
    
    — Vous savez, il faut le choisir en fonction de votre plaisir. Vous êtes plutôt vaginale ou clitoridienne ?
    
    J’ai presque l’impression d’être en pleine conversation avec ma gynécologue alors qu’il s’agit du vendeur d’un sexe shop ! Je lui réponds
    
    — Euh, je crois bien que je suis un peu des deux !
    
    Il me demande encore
    
    — Mais peut-être êtes vous surtout anale ! Dans ce cas, il faut un modèle spécial.
    
    L’homme s’est rapproché un peu plus et je peux sentir son souffle sur ma nuque. Il pose une main sur mon ventre, m’attire à lui, colle son bas-ventre contre mes fesses et me dit
    
    — Pour être certain du modèle qu’il vous faut, je crois que le mieux est de vérifier par moi-même.
    
    Je devine qu’il se débraguette et, quelques instants plus tard, il relève ma jupe, écarte mon string et frotte son gland contre ma fente. La situation m’excite et je n’arrive plus à me contrôler. Je me penche légèrement vers l’avant, cale mes mains sur le comptoir devant moi et lui tends ma croupe.
    
    D’un mouvement brusque, sa bite investit ma chatte et il commence à me besogner tout en remontant ses deux ...
    ... mains sur ma poitrine pour s’emparer de mes seins. Je ferme les yeux et tant pis si quelqu’un nous surprend ; c’est trop bon !
    
    Il se retire maintenant de ma chatte, enduit de salive et de mouille mon petit œillet et m’encule. Il m’embrasse dans le cou, continue à me caresser les seins d’une main et me titille le clito de l’autre. Il me dit
    
    — Bon sang, vous semblez aimer ça !
    
    Je ne lui réponds pas, tout mon corps parle de lui-même. Oui, j’aime me faire baiser ainsi, comme une vulgaire salope, comme la dernière des traînées qui se fait prendre par un inconnu. Quelques instants plus tard, l’homme se retire et se vide de tout son foutre sur mes fesses. Il me passe ensuite un kleenex pour que je m’essuie avant de rajuster ma tenue. Il prend un énorme godemiché noir nervuré et me dit
    
    — Tenez, je vous fais cadeau de celui-ci. Je suis sûr que vous en ferez bon usage.
    
    Le soir même à la maison, alors que Edouard est de nouveau retenu en soirée pour une réunion, je me glisse dans mon lit avec mon nouveau jouet. Il est plus que réaliste et vraiment gros. Je dois bien m’exciter le bourgeon et penser fort aux jeunes mâles de la cité du Maroc pour être suffisamment lubrifiée avant de m’introduire le monstre d’ébène. Au bout de quelques allers-retours, une onde de chaleur irradie mon bas-ventre.
    
    Lorsque je suis bien ouverte et que gode peut coulisser librement dans ma chatte, j’enclenche le mode « vibro ». Aussitôt, j’ai un fulgurant orgasme et je suis obligée de me mordre ...
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