1. Cette punition qui a changé ma vie (9)


    Datte: 05/02/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Porphyrion, Source: Xstory

    ... désespérer.
    
    Je me redresse et recommence à onduler du bassin en prenant bien soin cette fois de faire monter progressivement son plaisir. Je ne suis pas en reste, moi aussi je sens revenir une chaleur moite entre les jambes.
    
    Je dégage les épaules de ma robe qui tombe en chiffon autour de mes hanches, dégageant ainsi mes petits seins, je me penche pour les amener dans le champ de vision de ses yeux qui commencent à papillonner. Je lui en mets plein la vue, je secoue ma poitrine au rythme du galop de mes reins, ses paupières entrouvertes n’en perdent pas une miette.
    
    Quand je sens à nouveau ma jouissance arriver, mes ongles crochètent violemment ses tétons, s’y accrochant avec un emballement sadique. C’en est trop pour lui, il se cambre d’un coup, me soulevant sauvagement, lâche sans retenue des râles sauvages, m’accompagnant dans mon plaisir.
    
    J’ai l’impression que des litres de sperme se déversent dans mon vagin, je sens des spasmes sans fin qui parcourent le corps de mon nouveau jouet.
    
    Enfin, il se détend, ...
    ... retombant comme une loque, la poitrine secouée par sa respiration haletante, mais les yeux refermés.
    
    Je souris, pense-t-il vraiment m’apprendre les règles des jeux érotiques ?
    
    J’abandonne avec regret l’engin enfoui en moi et avance en rampant vers son visage que mon corps dépasse petit à petit, ma bouche, mes seins, mon ventre. Enfin arrive mon sexe et d’un coup de reins, je m’assieds sur ce visage aux yeux clos.
    
    Lentement, mes petites lèvres se promènent sur son front, ses yeux, sa bouche, laissant s’écouler le mélange de nos deux plaisirs sur sa figure redevenue impavide.
    
    Satisfaite d’avoir ainsi marqué ma propriété, je m’arrache à la langueur qui suit l’amour, me lève et marche doucement vers la porte de la chambre, ma robe me faisant une ceinture autour des reins. Avant de sortir, je me retourne une dernière fois, n’oubliant pas que je me suis fixé une mission.
    
    — Ne guéris pas trop vite, je reviens demain.
    
    Sa réponse me parvient dans un souffle à travers ses lèvres maculées de sperme :
    
    — Oui Maman. 
«1234»