Cette punition qui a changé ma vie (9)
Datte: 05/02/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Porphyrion, Source: Xstory
Chapitre 9Une belle-mère perverse
Le léger couinement de la poignée de la porte me ramène brutalement à la réalité.
Précipitamment, je balance la photo de l’autre côté du lit, je ferme les yeux, faisant semblant de dormir. J’espère, un peu naïf, que ma belle-mère mettra sur le compte de la fièvre l’érection que je n’ai pas le temps de dissimuler sous les draps.
Je m’appelle Martine, j’ai 57 ans, je suis veuve depuis deux ans.
Depuis la mort de mon mari, je dirige seule, d’une main de fer, le petit empire qu’il m’a laissé. Je n’ai pas choisi cette attitude sans concession, mais les requins guettent le moindre faux pas pour dépecer cet héritage. Mon physique m’aide beaucoup à m’imposer et à écarter sans pitié les malheureux qui tentent de se mettre en travers de mon chemin.
Je suis plutôt grande, près d’un mètre quatre-vingt, un corps svelte aux muscles secs que j’entretiens sans faillir, les cheveux d’un noir de jais, et les yeux encore plus foncés si cela est possible. Toujours habillée stricte, tailleur gris anthracite, du haut de mes chaussures à talons qui ne me quittent jamais, j’aime toiser mes collaborateurs et les faire bafouiller quand je les prends en défaut.
Bien sûr, mon mari me manque, sa présence, sa tendresse et plus encore notre complicité amoureuse, ou plutôt devrais-je dire notre complicité érotique. Malgré nos plus de trente années de mariage, nous nous sommes toujours entendus dans ce domaine, restant avides d’inventer de nouveaux ...
... jeux.
Notre distraction préférée se tenait dans un château isolé des vignes bordelaises où nous allions choisir un soumis, homme, femme, que nous utilisions pour le week-end.
Quel bonheur de voir la jouissance de mon homme quand il se vidait dans le conduit étroit de notre partenaire d’un soir ! Quelle excitation de voir sa verge grossir, durcir, pendant qu’une soumise la tête entre mes cuisses faisait monter mon plaisir.
Mon Dieu tous ces mâles et femelles obéissants qui nous ont offert et à qui nous avons procuré tant de félicité.
Très franchement, je n’ai plus de temps à consacrer à ces joutes sexuelles. Mon entreprise m’accapare toute la semaine.
J’ai bien essayé des coups d’un soir, histoire d’oublier les frustrations nées de ma libido insatisfaite. Quelle platitude, quel manque d’imagination en comparaison de ce que j’ai vécu pendant mon mariage.
Le seul dont la présence me donne la chair de poule est mon gendre, Raphael. Ce ne sont pas son charme ni son physique qui font pousser en moi des bouffées de désir, c’est de le voir mal à l’aise, impressionné face à moi, n’osant soutenir mon regard quand je simule irritation ou colère lorsque nous discutons en l’absence de ma fille.
Je retrouve avec lui le plaisir pris à humilier ces esclaves qui me regardaient les yeux humides de dévotion. Malheureusement, ce jeu a été jusqu’à présent purement cérébral, je n’ai pas encore trouvé l’occasion de transformer mon gendre en un objet sexuel obéissant.
J’ai profité ...