Nymphomane moi ? Tome I (10)
Datte: 04/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... accroître la transparence du tissu. Cela dura un peu plus longtemps, ma poitrine se cambra sous la caresse. Il passa à l’autre et l’humecta à nouveau, tout en le mordillant.
— Allez, laisse ton ami apprécier.
Le paysan passa derrière moi, il me tira les bras vers l’arrière pour faire ressortir ma poitrine.
Les deux hommes s’approchèrent les yeux écarquillés, c’était très érotique, on apercevait même les petits points de chair de poule qui pigmentaient mes aréoles.
— Allez Ahmed, dénoue les bretelles !
Celui-ci s’exécuta.
— Ben alors, dit le fermier, vous attendez que son tee-shirt se quitte tout seul ? Qui lui l’enlève ?
Le plus petit au regard chafouin s’approcha, il attrapa de chaque côté le vêtement léger et le tira lentement vers le bas. On aurait dit que la caresse du tissu sur mes seins faisait encore augmenter la taille de mes tétons. Je poussai un gémissement de plaisir, lorsque mes deux pointes brunes gorgées de sang surgirent hors du tissu. Le paysan tira encore plus mes bras en arrière.
En voyant mes seins, soutenus par mon demi-soutien-gorge, le petit chafouin ne put résister, il plaqua sa bouche sur mon sein droit, tout et me pinçant le téton gauche. Il me mordilla assez fortement le bout du téton, cela me fit gémir de douleur, il n’avait jamais fait ça à une blonde, blanche de surcroît.
— Doucement, dit le fermier... ne lui fais pas mal ! Quitte-le lui en plein. Allez qui ne lui a pas sucé les nichons ?
Il me prit les seins, comme ...
... pour les soupeser. Il les leur présenta.
— Putain ce qu’ils sont fermes, et que tes tétons sont durs... Tu aimes hein, qu’on te tripote !
Effectivement, ces succions me donnèrent des frissons dans tout le corps, des gouttes de foutre tombèrent sur mes cuisses. J’aime énormément que l’on me caresse les seins et que l’on triture mes tétons, Maxime au boulot arrivait presque à me faire jouir rien qu’en me les malaxant. Ahmed fit subir à mes nichons le même traitement. Il se fit même plus hardi, en appuyant et frottant son sexe raide et dur à hauteur de mon pubis.
— Bon dit le paysan, assis tout le monde. Tu vas quitter ta jupe, ensuite on verra...
Il recommença lui aussi à bander. Sa verge était de loin la plus grosse et la plus grande. Il l’exhiba d’ailleurs fièrement.
— Allez, exécution, fais-moi bander...
Je ne sus pas trop comment m’y prendre, les deux Maghrébins bandaient déjà énormément, ils se caressaient. Ils avaient tous enlevé leur pantalon. Je me mis en pleine lumière. Tout d’abord, je relevai ma jupe pour leur laisser apercevoir les fermoirs de mon porte-jarretelles, et une bande de chair blanche au-dessus de la limite des bas.
Ils savaient que je ne portais pas de culotte, puisqu’ils m’avaient vue enlever mon string dans la voiture.
Lentement ensuite, je la remontai encore, leur laissant apercevoir les lanières noires bien tendues, tranchant sur ma peau blanche, comme si j’allais découvrir mon mont de Vénus bien rasé. Mais arrivée au début de ...