1. Nymphomane moi ? Tome I (10)


    Datte: 04/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... faites quoi !
    
    — N’aie crainte, ce n’est qu’une solution saline... tu vas apprécier !
    
    Il écarta mes grandes lèvres vaginales et en fit couler dans ma chatte.
    
    — voilà, tu es prête, attends, je reviens.
    
    Je l’entendis ouvrir la porte d’un box et le vis revenir tenant en laisse un immense bouc chamoisé au pelage et aux cornes magnifiques. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine, je gigotai en tous sens sur la paille, mais j’étais attachée...
    
    — Noooooonnn pas ça, pas ça...
    
    — Nttttt, Nttttt... rappelle-toi, tu as juré de faire tout ce que je voudrai... Calme-toi, il est très doux...
    
    C’est un ami qui me l’a confié en pension... Il est bien dressé, il s’en sert pour tourner des clips pornos... Tu vas voir...
    
    Il approcha l’animal, de ma poitrine. Celui-ci sentit le sel répandu et se mit à me lécher les seins.
    
    Je n’osai pas trop bouger de peur qu’il me morde, rien de tel n’arriva et je me détendis petit à petit.
    
    Le vieux fermier entoura mon téton droit qui commençait à durcir et à s’étirer de sel, le bouc l’aspira de ses babines, et le lécha avec gourmandise, puis le gauche eut droit au même traitement. Bien que mon ventre soit toujours noué par l’appréhension, je me décontractai lentement, cette caresse n’était pas du tout désagréable bien au contraire, mes tétons pointaient fièrement, sa barbiche me frottait la poitrine délicieusement. De petits gémissements de plaisir commencèrent à sortir d’entre mes lèvres.
    
    — On dirait que tu aimes ça ! Voyons voir ...
    ... plus bas...
    
    Il tira sur la longe pour lui amener la tête sur mon pubis. La grosse langue me parcourut lentement le ventre. Instinctivement, je refermai les jambes.
    
    — Non... laisse tes cuisses ouvertes, ou je t’attache les chevilles, je suis sûr que tu vas aimer son cunnilingus...
    
    En tremblant légèrement, je desserrai lentement mes cuisses, le museau du ruminant se faufila à la base de ma fente, qui ruisselait de lotion saline et mon foutre mélangé. J’avais soulevé ma tête et regardai le bouc fixement avec appréhension.
    
    Il huma mon odeur, ses lèvres se retroussèrent, deux ou trois fois puis sa langue se mit à me lécher le monde vénus. Je frissonnai.
    
    — Tu vois, je te l’ai dit, il est vraiment doux. Tu aimes ? Oh oui j’en ai l’impression... attends...
    
    Il écarta mes grandes lèvres, la pointe de l’organe buccal de l’animal pénétra à l’intérieur de ma chatte, malgré moi je gémis plus fort. Méfiante, je regardai toujours les mouvements de l’animal.
    
    — Attends, je vais bien dégager ton clitoris, voilà...
    
    Les trois coups de langue râpeuse sur mon petit bouton rose me tirèrent un cri d’extase, je me tortillai sur la paille, ma respiration s’accéléra.
    
    — Eh bien ma salope, tu aimes ça ! Allez on va passer aux choses sérieuses !
    
    Il fit poser les deux pattes avant du bouc de chaque côté de moi. Ce n’était pas possible, l’animal bandait. Il savait ce qui allait suivre. Je vis ses deux grosses couilles de 10 centimètres de haut et de 7 centimètres de large chacune, ...
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