Nymphomane moi ? Tome I (10)
Datte: 04/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... pendre dans son scrotum de 30 centimètres. Le vieux Louis prit délicatement le sexe assez conséquent, rigide et rose et frotta doucement le bout du pénis un gland de 5 centimètres, le long me ma fente ruisselante, il le faisait entrer petit à petit entre mes lèvres, le bouc docile se laissait faire. J’avais laissé retomber ma tête, qui maintenant dodelinait de droite à gauche sur la paille. Mon cœur battait la chamade, mon souffle était court... attendant la pénétration qui tardait à venir...
— Alors... tu veux qu’il te baise ?
— Ouuuuiiiiii, m’entendis-je répondre...
IL positionna le gland à l’entrée de mon orifice vaginal, la grosse tige flexible s’enfonça inexorablement en moi, l’animal donna un coup de reins et une énorme quantité de sperme déferla dans ma chatte. Je hurlai de jouissance. Il se retira.
— Ne bouge surtout pas, il n’a pas fini, il faut qu’il éjacule trois ou quatre fois, m’ordonna le vieux fermier.
J’étais tétanisée par la jouissance, quand il me pénétra à nouveau et déversa encore et encore son sperme chaud...
Au quatrième coït, je criai à nouveau... et ouvrit les yeux...
— Que t’arrive-t-il ? me demanda mon mari... tu es en sueur, tu viens de crier...
— Oh rien, un mauvais rêve.
— Mauvais ? Tu es sûre, regarde la tâche de foutre qu’il y a sous tes fesses... Tu devais aimer te faire baiser !
J’étais toute chamboulée, pas que le vieux Louis me fasse prendre par un bouc pour me châtier ! Ce qui ne me semblait pas normal, c’est ...
... que je jouissais sous les assauts de l’animal ! Voilà que je tombais dans la zoophilie !
Je décidai qu’à la prochaine occasion, je me laisserai punir, en espérant toutefois à ne pas avoir affaire au bouc. Cela risquait de n’être que sexuel, car il m’avait presque ordonné de raser entièrement mes poils pubiens, lors d’un appel téléphonique, où il m’avait encore demandé expressément de venir le voir. Son énorme bite m’avait fait connaître le nirvana de la jouissance et j’étais curieuse du châtiment, alors j’ ai obéi ! J’ai demandé si le mardi suivant, je pouvais venir chercher des légumes et avoir ma punition, bien qu’il ne soit pas ouvert. Il s’empressa de me donner son accord et que ça tombait bien, car ce jour-là, il était tout seul à la ferme.
— Et tu sais que tu auras droit à une punition ! Tu feras tout ce que je demande ! Je te fais cadeau de mes légumes... Mais toi, tu ne me donnes plus rien, il y a une éternité que je ne t’ai pas touchée !!! On est bien d’accord précisa-t-il, j’ai ta parole ! Tu la mérites cette punition. Et n’oublie pas de te raser.
— Oui, oui, vous pourrez me punir... je ferai ce que vous voudrez... Mais comment me punirez-vous ?
— Tu verras bien bien... tu t’en souviendras ! Salope.
Je me demandais toujours en quoi consisterait cette punition « si terrible », cela attisait ma curiosité malsaine. Le jour dit, j’arrivai en milieu d’après-midi devant le hangar. Il était derrière la fenêtre à guetter mon arrivée. L’ouverture surplombait le ...