1. On ne choisit pas sa famille_Partie 1


    Datte: 02/02/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Briard, Source: Hds

    ... et senti l’hymen résister.
    
    « Je vais entrer maintenant mon amour. Cela va te piquer sur le coup. Serre-moi fort. »
    
    Elle l’encercla de ses bras, bloqua sa respiration, mais garda les yeux ouverts le fixant intensément.
    
    Il se recula un peu puis avança de nouveau. La délicate paroi céda et il s’enfonça totalement et s’immobilisa. Elle l’embrassa fortement de toute sa langue, la faisant tournoyer à une vitesse folle.
    
    « Oui, tu es loin en moi, je te sens bien. Je suis ta femme pour la vie. »
    
    « Ça va, tu n’as pas eu trop mal ? »
    
    « Non, presque rien. Tu es gros, je te sens partout. Va, fais-moi jouir mon chéri. »
    
    Il commença à aller et venir, lentement mais profondément pour commencer. Elle se cala dans l’oreiller et ses narines se pincèrent à chaque poussée. Elle l’encercla de ses jambes qu’elle remonta loin dans son dos.
    
    « Oui, je te sens, tu m’envahis, c’est bon. »
    
    Il accéléra son rythme et lui donna quelques baisers un peu partout sur le visage. Elle sortit sa langue pour le happer au passage et il la lui suça tout en continuant d’aller et venir en elle.
    
    « Ça monte, je sens de la chaleur partout dans mon corps. Ah, c’est bon. »
    
    Elle lui pris le visage dans ses main.
    
    « Regarde-moi, je veux que tu me vois quand je vais jouir. »
    
    « Il augmenta sa vitesse, sans donner plus d’à-coup, pour qu’il est le temps de la rejoindre dans la montée du plaisir.
    
    Elle le prit par la nuque et serra fortement ses mains.
    
    « Oui, c’est bon, je t’aime. Oui ...
    ... je jouis, je viens. Viens toi aussi, viens en moi. »
    
    Il senti la chaleur monter de son ventre et grimper le long de son sexe. Il donna encore quelques coup de reins puis s’immobilisa en gémissant à son tour. Elle sentit les soubresauts de sa verge et eut la sensation, elle aussi, qu’une chaleur l’envahissait.
    
    Il se serrèrent l’un contre l’autre et leurs bouches s’unirent dans un long baiser. Il se coucha sur le dos et elle vint se blottir contre lui, la tête dans le creux de son cou.
    
    « C’était formidable. Qu’est-ce que c’était bon. »
    
    « Oui ma chérie, c’était prodigieux. »
    
    « Aujourd’hui, tu as fait de moi une femme. Bientôt, je veux que tu fasses de moi, ta femme. »
    
    Un an plus tard, ils se mariaient. Les premières années furent, pour Kiara un véritable conte de fée. Elle avait stoppé ses études et travaillait aux côtés de son mari en qualité de chef de rang et donnait le meilleur d’elle-même au travail, comme dans leur vie de couple. Avec Joël, ils renouvelèrent progressivement le personnel de cuisine, introduisirent une carte beaucoup plus élaborée, recrutèrent un jeune sommelier très prometteur qui enrichit considérablement la cave en introduisant des vins d’Australie, de Californie, d’Italie, d’Espagne, et même de Chine. Ils revisitèrent la carte qui changea quasiment tous les soirs.
    
    Ils travaillèrent dur pour que le restaurant gagne ses lettres de noblesse dans cet univers très concurrentiel. Une indiscrétion de journaliste leur appris que le guide ...
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