1. Une femme modèle


    Datte: 31/01/2022, Catégories: fh, inconnu, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, portrait, couple, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... jusqu’à ce que, n’y tenant plus, Sophie lance très fort :
    
    — Et alors, au fait. Pourquoi m’as-tu demandé le portable de Jérôme ? Tu l’as appelé ? Jérôme, Angélique t’a appelé ?
    — Euh… oui, oui.
    — Et c’était pour quoi ? C’est pas sympa de nous faire des cachotteries !
    — Rien d’important, un pari stupide que nous avions fait la dernière fois ici, il y a quelques semaines.
    — Oui, renchérit Angélique, un truc chinois pour perdre la graisse sur le ventre. Il se trouve que ça a marché. Je voulais le lui dire et le remercier.
    — Quoi ? Un truc pour perdre du ventre ? Tu entends ça, Marc ? Et vous voudriez garder ça pour vous ?
    — Ouais, rien de bien malin. Il s’agit d’appuyer pendant cinq minutes deux fois par jour deux doigts en dessous du nombril.
    — Pff ! N’importe quoi. Mon pauvre Jérôme, avec des canulars comme ça tu resteras toujours célibataire.
    
    Merci, de rien, du coup je fais un peu la tronche et j’accompagne Marc en cuisine chercher de nouveaux plateaux de ce qui nous servira de dîner. Au retour, Angélique est au supplice. Elle a baissé sa jupe et relevé son chemisier pour montrer à Sophie sa plaque de chocolat retrouvée et le point précis qu’elle a massé. Elle porte un string, indispensable sous une jupe aussi serrée, et nous avons une vue incroyable sur son somptueux postérieur. Marc en est bouche bée, moi aussi je l’avoue. Le temps qu’elle se tortille pour remonter l’étroit fourreau noir, j’ai le temps de photographier mentalement les galbes et la musculature ...
    ... des cuisses et des fesses, le galbe parfait des hanches. L’érection me reprend. Si Sophie est agacée, je sens Angélique excédée. Les conversations glissent sur d’autres sujets, mais dès les petits fours de dessert avalés, la belle modèle se lève et déclare son souhait de partir, toujours pour se préparer à faire la route le lendemain. C’est à Sophie de faire grise mine, d’autant que j’emboîte le pas de sa copine.
    
    Dans l’allée vers la rue, elle me glisse discrètement :
    
    — Vous me suivez jusque chez moi ?
    — Avec plaisir.
    
    Je suis ses feux arrière jusqu’à un petit pavillon assez coquet dans un quartier résidentiel calme.
    
    — J’ai tout transformé pour gommer des souvenirs douloureux, mais malgré tout c’est là que j’ai passé mon enfance, des années heureuses, et je m’y ressource.
    — C’est tout à fait charmant, en effet, et vous avez un bel intérieur.
    — Oui, c’est agréable d’avoir un peu d’argent pour faire tout ça. Mes parents en seraient effarés. Bon, je vous offre un verre ? Moi j’en ai besoin, j’ai failli exploser.
    — Volontiers. Je vous ai sentie à la limite de la rupture, en effet.
    — Mais de quoi se mêle-t-elle ? Merde à la fin… J’ai l’impression d’être fliquée. Cognac ou armagnac ?
    — Armagnac.
    — Évidemment, pourquoi ai-je demandé à un homme de goût… Je suis vraiment perturbée.
    — Calmez-vous, prenez un peu de recul. Notre première invitation commune n’était pas due au hasard. Sophie avait espéré que la mayonnaise prenne entre nous. Mais là, elle n’est plus au ...
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