Une femme modèle
Datte: 31/01/2022,
Catégories:
fh,
inconnu,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
portrait,
couple,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... aller mon bassin au rythme endiablé de ses coups de boutoir. Nos sexes marquent le tempo d’un clapotis sonore. Angélique me tient les côtes. Elle a ouvert ses yeux étranges et me fixe en m’encourageant :
— Oueh, oueh, allez-y, mon amour, vous allez me faire jouir, vous savez. Oueh, oueh, je vais jouir, je vais jouir, oueh, oueh… Ah ça y est, je jouis, je jouiiis. Oh, mon amour, je jouis…
Même tétanie généralisée, mais cette fois, nous suons l’un et l’autre à grosses gouttes et elle souffle fort. Je décide de la mettre à contribution et nous fais faire un demi-tour, elle sur moi, l’invitant à prendre son plaisir à son rythme. Dieu qu’elle est belle ainsi en amazone, seins aux pointes durcies pointées droit devant, astiquant son clitoris sur mon pubis velu. Je lui tiens les mains, elle me sourit. Je lui pose les mains sur ma poitrine pour empoigner la sienne, elle ouvre la bouche en un O muet d’étonnement. Elle aspire l’air à grandes goulées, mais soudain ses bras semblent la trahir et elle s’affale sur moi. Je l’enserre et mon bassin, avec la complicité des rebonds du lit, entame une rafale de petits coups très rapides qui la propulsent vers une autre tétanie. Des râles accompagnent sa reprise de respiration, comme un coureur exténué. Elle avale sa salive avec peine et se redresse.
— Mon merveilleux amant, vous allez me faire mourir de plaisir. Mais et vous ?
— Votre plaisir est mon plaisir. Je vous aime et j’aime vous faire perdre tout contrôle.
— C’est bien ...
... peu dire que je vous aime aussi. Mais moi aussi, je veux vous amener à l’orgasme.
— Alors, offrez-moi votre somptueux postérieur que je l’emplisse de ma liqueur.
Aussitôt, elle s’écarte de moi, restant à quatre pattes, tendant à ma convoitise une rotondité sublime, orbe double largement écartée, vulve dilatée et orifices béants. Je ne peux me retenir de lécher avidement cette olive de chair tendre, du clitoris à l’anus, fourrant ma langue partout où elle peut pénétrer. Cette fois, j’entends un « Oooh ! » et j’imagine sa bouche arrondie comme il y a un instant. Sa cyprine est omniprésente et continue de sourdre en coulant le long de ses cuisses. Mon dard trouve son chemin sans effort, mes mains un vaste champ de préhension. Cette fois je ne pense plus qu’à mon plaisir, qu’au plaisir de baiser cette femme sublime, cadeau phénoménal que la vie me fait. Je pilonne sans égards, et c’est bien nécessaire tellement elle est humide. Parfois je m’arrête brutalement et de courtes tétanies lui creusent les reins et l’incitent à lancer ses fesses à l’assaut de mon mât. Elle aime donc ça, elle en veut encore, je lui en donne.
Mon ventre frappe ses fesses, fausse fessée qui en appellerait une vraie, mais on verra peut-être plus tard. Son cul, sa taille fine, son dos en V, son cou gracile, elle est si belle et si délicieuse que je sens le plaisir monter. Une dernière charge plus rapide et plus forte et les poignards de l’orgasme se plantent dans mes reins. Il y a des éjaculations de ...